Les mesures prises par la Banque du Liban (BDL) au lendemain du début du conflit entre le Hamas et Israël pour empêcher toute éventuelle fluctuation du taux de change de la livre libanaise par rapport au dollar qui pourrait découler des événements sécuritaires en cours dans la région ont, semble-t-il, porté leurs fruits.
Selon des sources de la banque centrale citées par l’agence Al-Markazia, les dispositions prises par la Banque du Liban, en coopération avec le gouvernement, le ministère des Finances, et les banques, notamment pour ne pas injecter davantage de livres libanaises sur le marché et empêcher ainsi de spéculer sur la livre libanaise, ont été efficaces. En effet, les entrepreneurs et les fournisseurs s’étaient empressés, dès le début de la guerre, de demander leur dû en livres aux institutions de l’État et aux banques afin de les convertir en dollars, mais le vice- gouverneur Wassim Mansouri a effectué les contacts nécessaires pour ne pas verser ces sommes.
Les sources affirment que des mesures ont été prises afin de limiter la masse monétaire et révèlent que le volume de livres libanaises en circulation entre les citoyens, les institutions et les banques, a été réduit d’environ 62 milliards de livres à 58 milliards de livres, imposant ainsi davantage de restrictions aux spéculateurs.
Les sources ont également souligné que la BDL est actuellement en mesure de poursuivre la politique de stabilité monétaire, néanmoins cela ne signifie pas que la situation économique est dans les meilleures conditions, puisque les prévisions indiquent une baisse des activités pouvant aller jusqu'à environ 50%, en particulier dans le secteur du tourisme. Cela peut avoir un impact négatif sur les salaires et les avantages sociaux que reçoivent les employés dans ce secteur et dans d’autres secteurs privés.
Selon des sources de la banque centrale citées par l’agence Al-Markazia, les dispositions prises par la Banque du Liban, en coopération avec le gouvernement, le ministère des Finances, et les banques, notamment pour ne pas injecter davantage de livres libanaises sur le marché et empêcher ainsi de spéculer sur la livre libanaise, ont été efficaces. En effet, les entrepreneurs et les fournisseurs s’étaient empressés, dès le début de la guerre, de demander leur dû en livres aux institutions de l’État et aux banques afin de les convertir en dollars, mais le vice- gouverneur Wassim Mansouri a effectué les contacts nécessaires pour ne pas verser ces sommes.
Les sources affirment que des mesures ont été prises afin de limiter la masse monétaire et révèlent que le volume de livres libanaises en circulation entre les citoyens, les institutions et les banques, a été réduit d’environ 62 milliards de livres à 58 milliards de livres, imposant ainsi davantage de restrictions aux spéculateurs.
Les sources ont également souligné que la BDL est actuellement en mesure de poursuivre la politique de stabilité monétaire, néanmoins cela ne signifie pas que la situation économique est dans les meilleures conditions, puisque les prévisions indiquent une baisse des activités pouvant aller jusqu'à environ 50%, en particulier dans le secteur du tourisme. Cela peut avoir un impact négatif sur les salaires et les avantages sociaux que reçoivent les employés dans ce secteur et dans d’autres secteurs privés.
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