Fadi Karam, député de la République forte (Forces libanaises), a affirmé jeudi que «les Libanais rejettent les politiques régionales du Hezbollah», soulignant qu’il faut «assumer notre responsabilité historique et nous opposer au parti s’il venait à nous entraîner dans la guerre». Et de lancer au Hezbollah: «Assez! Nous n’accepterons pas de dépendre de vos calculs iraniens».
Lors d’un entretien accordé à la radio La voix de tout le Liban, M. Karam affirme que les Libanais veulent «éloigner le pays de la guerre, bien qu’il y ait déjà été impliqué et que nous payions un lourd tribut en raison de notre lien avec les fronts de la Moumanaa (axe pro-iranien)».
M. Karam a ainsi déploré le fait que tout le monde attende le discours du secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, prévu pour vendredi, alors que «nous avons un État libanais». Les déclarations de Nasrallah sont «basées sur les calculs de l’Iran» et de son axe, ajoute-t-il.
Se penchant sur la position du Liban vis-à-vis de la guerre à Gaza, M. Karam affirme qu’il «n’y a pas de décision de s’engager dans la guerre». «Cependant, au cas où la guerre se déclenche, nous nous concentrerons sur les aspects humanitaires et je ne pense pas qu’un Libanais hésiterait à aider un autre Libanais», indique-t-il.
Quant à l’aspect politique de la question, M. Karam assure que le camp de l’opposition tiendrait «le Hezbollah pour responsable de la mise en danger constante du Liban, de la destruction de son économie, ainsi que des peines imposées aux Libanais en raison de ses politiques liées à l’unité des fronts».
Lors d’un entretien accordé à la radio La voix de tout le Liban, M. Karam affirme que les Libanais veulent «éloigner le pays de la guerre, bien qu’il y ait déjà été impliqué et que nous payions un lourd tribut en raison de notre lien avec les fronts de la Moumanaa (axe pro-iranien)».
M. Karam a ainsi déploré le fait que tout le monde attende le discours du secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, prévu pour vendredi, alors que «nous avons un État libanais». Les déclarations de Nasrallah sont «basées sur les calculs de l’Iran» et de son axe, ajoute-t-il.
Se penchant sur la position du Liban vis-à-vis de la guerre à Gaza, M. Karam affirme qu’il «n’y a pas de décision de s’engager dans la guerre». «Cependant, au cas où la guerre se déclenche, nous nous concentrerons sur les aspects humanitaires et je ne pense pas qu’un Libanais hésiterait à aider un autre Libanais», indique-t-il.
Quant à l’aspect politique de la question, M. Karam assure que le camp de l’opposition tiendrait «le Hezbollah pour responsable de la mise en danger constante du Liban, de la destruction de son économie, ainsi que des peines imposées aux Libanais en raison de ses politiques liées à l’unité des fronts».
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