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- La bande de Gaza "coupée en deux"
L'armée israélienne intensifie ses frappes à Gaza, et aurait "coupé le territoire en deux". Les combats persistants dans le nord de Gaza exacerbent la crise humanitaire dans la région, avec des milliers de morts et des milliers de civils déplacés. Des bombardements auraient eu lieu à proximité de plusieurs hôpitaux, selon le Hamas.
L'armée israélienne a annoncé qu'elle menait dimanche soir des "frappes significatives" qui "se poursuivront dans les prochains jours" dans la bande de Gaza, ajoutant avoir coupé le territoire palestinien en deux.
"Des frappes significatives sont maintenant en cours (...) et elles se poursuivront cette nuit et dans les jours à venir", a déclaré le porte-parole de l'armée Daniel Hagari, affirmant que les forces israéliennes opérant dans le territoire l'avait coupé en deux: "Gaza sud et Gaza nord".
Peu de temps auparavant, le gouvernement du Hamas avait fait état "d'intenses bombardements" autour de plusieurs hôpitaux dans le nord de la bande de Gaza, où internet et lignes téléphoniques avaient été coupés.
Des bombardements ont notamment eu lieu à proximité de l'hôpital al-Shifa, le plus grand de la bande de Gaza, selon la même source.
Après 30 jours de guerre entre Israël et le mouvement islamiste palestinien, l'encerclement de la partie nord du territoire et sa séparation de facto du sud de la bande de Gaza est une étape importante de l'opération menée par les forces israéliennes, a souligné M. Hagari.
"Nous permettons encore un passage pour les civils du nord de Gaza et de la ville de Gaza vers le sud", a-t-il ajouté alors que 300.000 à 400.000 personnes se trouveraient encore dans le nord de ce territoire exigu de 2,4 millions d'habitants où la situation humanitaire est jugée catastrophique.
Israël ordonne depuis la mi-octobre aux civils d'évacuer le nord du territoire, où les combats sont les plus intenses, vers le sud. Dimanche, l'armée israélienne a une nouvelle fois dispersé dans le ciel de Gaza des messages en ce sens.
Le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, lors d'une visite dimanche en Cisjordanie occupée, a mis en garde contre le "déplacement forcé" des civils palestiniens dans la bande de Gaza, dans le cadre de son offensive déclenchée en représailles à l'attaque sanglante du Hamas sur Israël le 7 octobre.
Selon les autorités israéliennes, au moins 1.400 personnes sont mortes côté israélien, en majorité des civils tués le jour même de l'attaque du Hamas. Dans la bande de Gaza, le dernier bilan du Hamas fait état dimanche de 9.770 personnes, dont 4.800 enfants et 2.550 femmes, tuées depuis le 7 octobre dans les bombardements de représailles d'Israël qui dit vouloir "anéantir" le mouvement palestinien.
Avec AFP
L'armée israélienne a annoncé qu'elle menait dimanche soir des "frappes significatives" qui "se poursuivront dans les prochains jours" dans la bande de Gaza, ajoutant avoir coupé le territoire palestinien en deux.
"Des frappes significatives sont maintenant en cours (...) et elles se poursuivront cette nuit et dans les jours à venir", a déclaré le porte-parole de l'armée Daniel Hagari, affirmant que les forces israéliennes opérant dans le territoire l'avait coupé en deux: "Gaza sud et Gaza nord".
Peu de temps auparavant, le gouvernement du Hamas avait fait état "d'intenses bombardements" autour de plusieurs hôpitaux dans le nord de la bande de Gaza, où internet et lignes téléphoniques avaient été coupés.
Des bombardements ont notamment eu lieu à proximité de l'hôpital al-Shifa, le plus grand de la bande de Gaza, selon la même source.
Après 30 jours de guerre entre Israël et le mouvement islamiste palestinien, l'encerclement de la partie nord du territoire et sa séparation de facto du sud de la bande de Gaza est une étape importante de l'opération menée par les forces israéliennes, a souligné M. Hagari.
"Nous permettons encore un passage pour les civils du nord de Gaza et de la ville de Gaza vers le sud", a-t-il ajouté alors que 300.000 à 400.000 personnes se trouveraient encore dans le nord de ce territoire exigu de 2,4 millions d'habitants où la situation humanitaire est jugée catastrophique.
Israël ordonne depuis la mi-octobre aux civils d'évacuer le nord du territoire, où les combats sont les plus intenses, vers le sud. Dimanche, l'armée israélienne a une nouvelle fois dispersé dans le ciel de Gaza des messages en ce sens.
Le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, lors d'une visite dimanche en Cisjordanie occupée, a mis en garde contre le "déplacement forcé" des civils palestiniens dans la bande de Gaza, dans le cadre de son offensive déclenchée en représailles à l'attaque sanglante du Hamas sur Israël le 7 octobre.
Selon les autorités israéliennes, au moins 1.400 personnes sont mortes côté israélien, en majorité des civils tués le jour même de l'attaque du Hamas. Dans la bande de Gaza, le dernier bilan du Hamas fait état dimanche de 9.770 personnes, dont 4.800 enfants et 2.550 femmes, tuées depuis le 7 octobre dans les bombardements de représailles d'Israël qui dit vouloir "anéantir" le mouvement palestinien.
Avec AFP
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