La cheffe de la diplomatie française, Catherine Colonna, «a mis en garde jeudi avec fermeté» son homologue iranien, Hossein Amir-Abdollahian, «contre toute escalade ou extension du conflit», notamment au Liban, a annoncé le ministère français des Affaires étrangères dans un communiqué.
«Entretien aujourd'hui avec mon homologue iranien en forme de mise en garde: l'extension du conflit en cours à Gaza ne profiterait à personne, et l'Iran aurait une lourde responsabilité», a déclaré Catherine Colonna dans un message sur X (anciennement Twitter) parallèlement à la publication du communiqué du Quai d'Orsay.
La communauté internationale redoute une extension du conflit à la frontière entre Israël et le Liban, où les échanges de tirs sont quotidiens, voire au-delà, dans la région impliquant des milices pro-Iran, ennemi numéro un d'Israël et soutien clé du groupe islamiste palestinien Hamas.
L'entretien entre les deux chefs de la diplomatie s'est déroulé, à Genève, à la demande du ministre iranien, a précisé le Quai d'Orsay.
«La ministre a rappelé la nécessité qui s'impose à tous de condamner avec la plus grande fermeté les attaques terroristes menées par le Hamas contre Israël et sa population», a ajouté le ministère, soulignant qu'il ne pouvait y avoir «d'ambiguïté à ce sujet».
Les actes de terreur contre les civils sont «injustifiables et inacceptables», a-t-elle fait savoir.
Catherine Colonna a également réitéré l'attachement de la France au droit d'Israël à se défendre et à défendre sa population, mais «de façon ciblée et proportionnée, conformément au droit international humanitaire».
La France martèle que toutes les mesures doivent être prises «pour épargner les civils» et garantir les accès humanitaires.
La ministre française a enfin appelé Téhéran à libérer immédiatement les quatre ressortissants français «toujours détenus arbitrairement en Iran et dont la situation est extrêmement préoccupante».
«Entretien aujourd'hui avec mon homologue iranien en forme de mise en garde: l'extension du conflit en cours à Gaza ne profiterait à personne, et l'Iran aurait une lourde responsabilité», a déclaré Catherine Colonna dans un message sur X (anciennement Twitter) parallèlement à la publication du communiqué du Quai d'Orsay.
La communauté internationale redoute une extension du conflit à la frontière entre Israël et le Liban, où les échanges de tirs sont quotidiens, voire au-delà, dans la région impliquant des milices pro-Iran, ennemi numéro un d'Israël et soutien clé du groupe islamiste palestinien Hamas.
L'entretien entre les deux chefs de la diplomatie s'est déroulé, à Genève, à la demande du ministre iranien, a précisé le Quai d'Orsay.
«La ministre a rappelé la nécessité qui s'impose à tous de condamner avec la plus grande fermeté les attaques terroristes menées par le Hamas contre Israël et sa population», a ajouté le ministère, soulignant qu'il ne pouvait y avoir «d'ambiguïté à ce sujet».
Les actes de terreur contre les civils sont «injustifiables et inacceptables», a-t-elle fait savoir.
Catherine Colonna a également réitéré l'attachement de la France au droit d'Israël à se défendre et à défendre sa population, mais «de façon ciblée et proportionnée, conformément au droit international humanitaire».
La France martèle que toutes les mesures doivent être prises «pour épargner les civils» et garantir les accès humanitaires.
La ministre française a enfin appelé Téhéran à libérer immédiatement les quatre ressortissants français «toujours détenus arbitrairement en Iran et dont la situation est extrêmement préoccupante».
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