©Joan Didion- The Center Will Not Hold (Netflix)
Joan Didion a écrit sur l'Amérique de son temps et sur elle, chroniqueuse de son époque autant que de son intimité; ses écrits prennent la forme d'essais aussi souples que des romans. Elle a été reconnue en France avec la publication de son texte L'Année de la pensée magique, récit de la disparition de son mari. Sa plume est aussi exigeante qu'elle, nette, acérée.
Journaliste, elle a raconté la révolte des enfants de 68, le rock et Jim Morisson, la fin d'une certaine Amérique et Linda Kasabian, la drogue et les enfants. Essayiste, elle a su décrypter cette Amérique confuse et éparpillée. Elle a été l'icône de l'Amérique intellectuelle, figure de la contre-culture et égérie pour Céline.
Joan Didion est morte il y a presque un mois. On peut la (re)découvrir grâce à ce documentaire de Netflix. Et ensuite, filer acheter ses livres, comme moi qui ne la connaissais pas il y a encore peu de temps.
«Le mariage, c'est la mémoire; le mariage, c'est le temps.
Le mariage, ce n'est pas seulement le temps, c'est aussi, paradoxalement, le déni du temps.»
https://mailchi.mp/bad0bbcf70d0/sharing-is-caring-3?e=7d91a2bbc3
https://angelique-in-paris.mailchimpsites.com/
PS (Ici Beyrouth): Pour en savoir plus sur L’Année de la pensée magique de Joan Didion:
«Une soirée ordinaire, fin décembre à New York. Joan Didion s’apprête à dîner avec son mari, l’écrivain John Gregory Dunne, quand ce dernier s’écroule, victime d’une crise cardiaque foudroyante. Pendant une année entière, elle essaie de se résigner à la mort de son compagnon et de s’occuper de leur fille, gravement malade. Dans un récit sobre et sans complaisance, l’auteure raconte la folie du deuil et dissèque, entre sécheresse clinique et monologue intérieur, une expérience indicible et sa rédemption par la littérature. Best-seller encensé par la critique aux États-Unis, L’Année de la pensée magique, déjà considéré comme un classique, a été couronné par le National Book Award. Un livre bouleversant sur le deuil. Son deuil. Un style sans pareil, où même les larmes sont sèches. » Claude Arnaud, Le Point.
Journaliste, elle a raconté la révolte des enfants de 68, le rock et Jim Morisson, la fin d'une certaine Amérique et Linda Kasabian, la drogue et les enfants. Essayiste, elle a su décrypter cette Amérique confuse et éparpillée. Elle a été l'icône de l'Amérique intellectuelle, figure de la contre-culture et égérie pour Céline.
Joan Didion est morte il y a presque un mois. On peut la (re)découvrir grâce à ce documentaire de Netflix. Et ensuite, filer acheter ses livres, comme moi qui ne la connaissais pas il y a encore peu de temps.
«Le mariage, c'est la mémoire; le mariage, c'est le temps.
Le mariage, ce n'est pas seulement le temps, c'est aussi, paradoxalement, le déni du temps.»
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PS (Ici Beyrouth): Pour en savoir plus sur L’Année de la pensée magique de Joan Didion:
«Une soirée ordinaire, fin décembre à New York. Joan Didion s’apprête à dîner avec son mari, l’écrivain John Gregory Dunne, quand ce dernier s’écroule, victime d’une crise cardiaque foudroyante. Pendant une année entière, elle essaie de se résigner à la mort de son compagnon et de s’occuper de leur fille, gravement malade. Dans un récit sobre et sans complaisance, l’auteure raconte la folie du deuil et dissèque, entre sécheresse clinique et monologue intérieur, une expérience indicible et sa rédemption par la littérature. Best-seller encensé par la critique aux États-Unis, L’Année de la pensée magique, déjà considéré comme un classique, a été couronné par le National Book Award. Un livre bouleversant sur le deuil. Son deuil. Un style sans pareil, où même les larmes sont sèches. » Claude Arnaud, Le Point.
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