Après avoir déclaré samedi dispenser de nouvelles formalités, à partir du 21 novembre, l’Autorité de gestion du trafic et des véhicules (Mécanique) a annoncé observer une énième grève ouverte à partir de lundi et ce jusqu’à la satisfaction des revendications des employés.
Il faut dire que depuis plus d’un an, la Mécanique est quasiment tout le temps en grève.
Dans un communiqué, les employés déplorent le fait qu’ils ne reçoivent qu’une petite partie de leur salaire, alors que l’autre partie (à savoir la multiplication par quatre du salaire et les indemnités de transport), n’est pas en train d’être perçue. Ils rappellent à cet égard que la Mécanique rapporte au Trésor public d’importantes recettes d’autant plus qu’elle a commencé à encaisser le prix des formalités des citoyens.
Les employés exigent que l’État trouve une formule selon laquelle ils obtiennent une indemnité fixe, un pourcentage «juste» de ce que l’Autorité perçoit, notant que plusieurs institutions et ministères ont eu recours à cette solution pour soutenir leurs travailleurs à la lumière de l’effondrement de la valeur des salaires et de l’augmentation des impôts et du coût de la vie.
Il convient de rappeler que l’Autorité de gestion du trafic et des véhicules est restée fermée pendant onze mois, avant de rouvrir ses portes le 11 septembre dernier, sporadiquement, en raison de l’arrestation de fonctionnaires soupçonnés de corruption.
Il faut dire que depuis plus d’un an, la Mécanique est quasiment tout le temps en grève.
Dans un communiqué, les employés déplorent le fait qu’ils ne reçoivent qu’une petite partie de leur salaire, alors que l’autre partie (à savoir la multiplication par quatre du salaire et les indemnités de transport), n’est pas en train d’être perçue. Ils rappellent à cet égard que la Mécanique rapporte au Trésor public d’importantes recettes d’autant plus qu’elle a commencé à encaisser le prix des formalités des citoyens.
Les employés exigent que l’État trouve une formule selon laquelle ils obtiennent une indemnité fixe, un pourcentage «juste» de ce que l’Autorité perçoit, notant que plusieurs institutions et ministères ont eu recours à cette solution pour soutenir leurs travailleurs à la lumière de l’effondrement de la valeur des salaires et de l’augmentation des impôts et du coût de la vie.
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