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- Abdollahian met en garde contre une conflagration
Le ministre iranien des Affaires étrangères, Hussein Amir-Abdollahian, a souligné qu’«une trêve de quatre jours à Gaza est une bonne initiative, mais qu'il serait plus important de parvenir à un cessez-le-feu permanent» entre les deux parties. Il a, par ailleurs, alerté que «faute d’un cessez-le-feu durable, les choses pourront empirer et la situation dans la région ne sera plus ce qu’elle était avant la guerre».
Le ministre iranien a tenu ces propos lors d’une visite mercredi soir chez le Premier ministre sortant, Najib Mikati. Il convient de souligner qu’il s’agit de la deuxième visite de M. Abdollahian auprès des dirigeants libanais depuis le début de la guerre à Gaza le 7 octobre dernier.
Lors de cette visite, les relations bilatérales entre les deux pays, ainsi que la situation au Liban et à Gaza, ont été examinées.
M. Mikati a, de son côté, souligné «la nécessité d'intensifier les efforts pour parvenir à un cessez-le-feu global et mettre fin à l'agression israélienne contre Gaza, puis de rechercher une solution pacifique durable». Il a également appelé «les pays influents à faire pression sur Israël pour qu'il mette fin à son agression contre le sud du Liban et qu'il cesse de prendre pour cible les civils et les journalistes en particulier».
Plus tôt dans la journée, le ministre iranien des Affaires étrangères avait rencontré le chef du Parlement, Nabih Berry, à Aïn el-Tiné.
Par ailleurs, l’IRNA (Islamic Republic News Agency), a rapporté que le ministre iranien s’est également entretenu avec le secrétaire général du mouvement du Jihad islamique, Ziad al-Nakhalah et le chef adjoint du bureau politique du Hamas dans la bande de Gaza, Khalil al-Hayya. Cette rencontre a notamment porté sur l’importance de l'acheminement d'une aide humanitaire indispensable à la population assiégée de Gaza.
En effet, dès son arrivée à Beyrouth, le ministre iranien avait déclaré que «nous sommes au Liban pour consulter les autorités libanaises concernant la sécurité dans la région et le respect des droits». Et, pourtant, c’est de Téhéran que le Hezbollah continue de recevoir les instructions par rapport à la guerre et la paix au détriment de l’État et du peuple libanais.
M. Abdollahian a, par ailleurs, réitéré qu’il «ne fait aucun doute que l'avenir de Gaza et de la Palestine ne seront déterminés que par le peuple palestinien».
Il convient de souligner que la visite du ministre iranien à Beyrouth coïncide avec la trêve humanitaire de quatre jours, annoncée dans la bande de Gaza et d’un accord avec Israël pour la libération de 50 otages aux mains du Hamas en échange de prisonniers palestiniens.
Le ministre iranien a tenu ces propos lors d’une visite mercredi soir chez le Premier ministre sortant, Najib Mikati. Il convient de souligner qu’il s’agit de la deuxième visite de M. Abdollahian auprès des dirigeants libanais depuis le début de la guerre à Gaza le 7 octobre dernier.
Lors de cette visite, les relations bilatérales entre les deux pays, ainsi que la situation au Liban et à Gaza, ont été examinées.
M. Mikati a, de son côté, souligné «la nécessité d'intensifier les efforts pour parvenir à un cessez-le-feu global et mettre fin à l'agression israélienne contre Gaza, puis de rechercher une solution pacifique durable». Il a également appelé «les pays influents à faire pression sur Israël pour qu'il mette fin à son agression contre le sud du Liban et qu'il cesse de prendre pour cible les civils et les journalistes en particulier».
Plus tôt dans la journée, le ministre iranien des Affaires étrangères avait rencontré le chef du Parlement, Nabih Berry, à Aïn el-Tiné.
Par ailleurs, l’IRNA (Islamic Republic News Agency), a rapporté que le ministre iranien s’est également entretenu avec le secrétaire général du mouvement du Jihad islamique, Ziad al-Nakhalah et le chef adjoint du bureau politique du Hamas dans la bande de Gaza, Khalil al-Hayya. Cette rencontre a notamment porté sur l’importance de l'acheminement d'une aide humanitaire indispensable à la population assiégée de Gaza.
En effet, dès son arrivée à Beyrouth, le ministre iranien avait déclaré que «nous sommes au Liban pour consulter les autorités libanaises concernant la sécurité dans la région et le respect des droits». Et, pourtant, c’est de Téhéran que le Hezbollah continue de recevoir les instructions par rapport à la guerre et la paix au détriment de l’État et du peuple libanais.
M. Abdollahian a, par ailleurs, réitéré qu’il «ne fait aucun doute que l'avenir de Gaza et de la Palestine ne seront déterminés que par le peuple palestinien».
Il convient de souligner que la visite du ministre iranien à Beyrouth coïncide avec la trêve humanitaire de quatre jours, annoncée dans la bande de Gaza et d’un accord avec Israël pour la libération de 50 otages aux mains du Hamas en échange de prisonniers palestiniens.
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