Le métropolite de Beyrouth, Mgr Élias Audi, a insisté, dimanche, sur «l’importance du rôle de l’armée et la nécessité de se rallier» autour de cette institution, la seule qui tienne toujours debout dans la situation actuelle.
Lors de son homélie, Mgr Audi a également appelé les citoyens libanais à «prendre conscience de leur devoir de demander des comptes à leurs représentants, afin qu’ils jouent le rôle pour lequel ils ont été élus».
Se penchant sur la Fête nationale du Liban, célébrée le 22 novembre, le métropolite a estimé que l’indépendance ne retrouvera son sens que «le jour où sera élu un président, avec lequel débutera le redressement du pays au moyen d’un plan de réforme globale». C’est alors que, selon Mgr Audi, «seront éradiqués la corruption, l’empiètement sur la souveraineté et sur la Constitution, la violation des frontières, la restriction des libertés et l’exploitation du pouvoir judiciaire».
Dans ces circonstances, «le pouvoir décisionnel serait, de nouveau, entre les mains de l’État, ce qui restituerait au citoyen sa dignité, à l’État son pouvoir et au droit sa souveraineté».
«Ce n’est qu’à ce moment-là que les Libanais auront le sentiment de prendre leur destin en main parce que leur État, avec toutes ses composantes, est le seul dirigeant, le seul porte-parole et le seul décideur en matière de politique intérieure et extérieure», conclut Mgr Audi.
Lors de son homélie, Mgr Audi a également appelé les citoyens libanais à «prendre conscience de leur devoir de demander des comptes à leurs représentants, afin qu’ils jouent le rôle pour lequel ils ont été élus».
Se penchant sur la Fête nationale du Liban, célébrée le 22 novembre, le métropolite a estimé que l’indépendance ne retrouvera son sens que «le jour où sera élu un président, avec lequel débutera le redressement du pays au moyen d’un plan de réforme globale». C’est alors que, selon Mgr Audi, «seront éradiqués la corruption, l’empiètement sur la souveraineté et sur la Constitution, la violation des frontières, la restriction des libertés et l’exploitation du pouvoir judiciaire».
Dans ces circonstances, «le pouvoir décisionnel serait, de nouveau, entre les mains de l’État, ce qui restituerait au citoyen sa dignité, à l’État son pouvoir et au droit sa souveraineté».
«Ce n’est qu’à ce moment-là que les Libanais auront le sentiment de prendre leur destin en main parce que leur État, avec toutes ses composantes, est le seul dirigeant, le seul porte-parole et le seul décideur en matière de politique intérieure et extérieure», conclut Mgr Audi.
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