Le leader des Forces libanaises (FL), Samir Geagea, a affirmé lundi que «la présidence de la République ne saurait faire l'objet de négociations ou de marchandage», lors d’un entretien accordé à Radio Liban Libre.
Ces propos représentent une réponse indirecte aux analyses selon lesquelles l’Iran et le Hezbollah chercheraient à «échanger l'exécution de la résolution 1701 du Conseil de sécurité, en l’occurrence le retrait militaire et sécuritaire du Hezb au Liban-Sud, contre un président de la République» proche de la formation pro-iranienne. Selon M. Geagea, ces manœuvres resteront stériles.
Dans ce contexte, il a rappelé que la première magistrature est «le poste le plus important dans la République libanaise», et non «une pièce de rechange dans une voiture, qu’on remplacerait en cas de panne».
Le chef FL a appelé à respecter la procédure de l’élection présidentielle, précisant que «celui qui ne souhaite pas soutenir le candidat du Hezb ne changera pas sa position», en allusion au camp de l’opposition.
Par ailleurs, M. Geagea a indiqué que le but de la visite de l’émissaire français, Jean-Yves Le Drian, au Liban «n’est toujours pas clair».
Ces propos représentent une réponse indirecte aux analyses selon lesquelles l’Iran et le Hezbollah chercheraient à «échanger l'exécution de la résolution 1701 du Conseil de sécurité, en l’occurrence le retrait militaire et sécuritaire du Hezb au Liban-Sud, contre un président de la République» proche de la formation pro-iranienne. Selon M. Geagea, ces manœuvres resteront stériles.
Dans ce contexte, il a rappelé que la première magistrature est «le poste le plus important dans la République libanaise», et non «une pièce de rechange dans une voiture, qu’on remplacerait en cas de panne».
Le chef FL a appelé à respecter la procédure de l’élection présidentielle, précisant que «celui qui ne souhaite pas soutenir le candidat du Hezb ne changera pas sa position», en allusion au camp de l’opposition.
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