Le leader des Kataëb, Samy Gemayel, a reçu lundi une délégation du Parti socialiste progressiste (PSP), présidée par son chef, Teymour Joumblatt, au siège du parti à Saïfi.
Au terme d’une réunion élargie entre les membres des deux blocs parlementaires, le député PSP, Hadi Abou el-Hosn, a souligné «l'importance de consolider l'armée tant au niveau du commandement que du personnel», appelant «le Conseil des ministres à prolonger le mandat du commandant en chef de l'armée (Joseph Aoun) et à nommer les membres du Conseil militaire».
À la question de savoir quelles seraient les options si le Cabinet échouait dans cette mission, M. Abou el-Hosn a avancé que le PSP «déterminerait sa position concernant les propositions de lois» déjà élaborées à cet effet par différentes parties, en effectuant des concertations avec celles-ci. «Il est préférable d'attendre que les choses se clarifient à l'avenir pour examiner la proposition présentée par la Rencontre démocratique, visant à retarder de deux ans l'âge du départ à la retraite» du commandant de l’armée, a-t-il déclaré.
En conclusion, M. Abou el-Hosn a rappelé que le recours au Parlement se ferait dans le cadre de «la législation en cas d’urgence», estimant que «la nécessité la plus pressante est liée à la question du commandement de l'armée» dans la situation actuelle.
Au terme d’une réunion élargie entre les membres des deux blocs parlementaires, le député PSP, Hadi Abou el-Hosn, a souligné «l'importance de consolider l'armée tant au niveau du commandement que du personnel», appelant «le Conseil des ministres à prolonger le mandat du commandant en chef de l'armée (Joseph Aoun) et à nommer les membres du Conseil militaire».
À la question de savoir quelles seraient les options si le Cabinet échouait dans cette mission, M. Abou el-Hosn a avancé que le PSP «déterminerait sa position concernant les propositions de lois» déjà élaborées à cet effet par différentes parties, en effectuant des concertations avec celles-ci. «Il est préférable d'attendre que les choses se clarifient à l'avenir pour examiner la proposition présentée par la Rencontre démocratique, visant à retarder de deux ans l'âge du départ à la retraite» du commandant de l’armée, a-t-il déclaré.
En conclusion, M. Abou el-Hosn a rappelé que le recours au Parlement se ferait dans le cadre de «la législation en cas d’urgence», estimant que «la nécessité la plus pressante est liée à la question du commandement de l'armée» dans la situation actuelle.
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