Le Premier ministre sortant, Najib Mikati, actuellement aux Émirats arabes unis pour présider la délégation libanaise à la COP28, a souligné que «le Liban fait face à une agression israélienne qui affecte la population et les habitations, et provoque d'importants dégâts écologiques».
Dans un discours prononcé samedi midi dans le cadre de la COP28, M. Mikati, a fermement dénoncé «les violations continues de l’État hébreu [notamment au Liban-Sud], y compris le recours à des armes interdites, telles que le phosphore blanc, causant des victimes et provoquant des dommages irréparables sur plus de 5 millions de mètres carrés de forêts, de terres agricoles et des milliers d'oliviers».
M. Mikati a, par ailleurs, souligné l'impératif «de reconnaître les conséquences désastreuses des guerres et des attaques militaires sur l'environnement, car il est absolument nécessaire de les traiter dans le cadre des lois internationales et du droit international des droits de l'Homme».
Dans le même contexte, le chef du gouvernement d’expédition des affaires courantes a insisté sur l'importance «d'élargir les mécanismes de financement pour répondre aux défis grandissants des dommages». Il a également plaidé en faveur d'une extension de leur portée «pour inclure la reconstruction d'une économie verte et durable au Liban».
Macron
M.Mikati s'est par ailleurs entretenu avec le président français Emmanuel Macron. Au menu des discussions, la dernière visite au Liban de l'envoyé spécial, Jean-Yves Le Drian, qui a rencontré les différents responsables libanais pour tenter de débloquer le dossier présidentiel, ainsi que la prolongation du mandat du commandant en chef de l'armée Joseph Aoun.
Le Premier ministre sortant s'est également entretenu avec le Premier ministre écossais, Houmza Youssef, le Premier ministre irlandais, Leo Varadkar, et la présidente du Conseil des ministres italien, Giorgia Meloni.
Dans un discours prononcé samedi midi dans le cadre de la COP28, M. Mikati, a fermement dénoncé «les violations continues de l’État hébreu [notamment au Liban-Sud], y compris le recours à des armes interdites, telles que le phosphore blanc, causant des victimes et provoquant des dommages irréparables sur plus de 5 millions de mètres carrés de forêts, de terres agricoles et des milliers d'oliviers».
M. Mikati a, par ailleurs, souligné l'impératif «de reconnaître les conséquences désastreuses des guerres et des attaques militaires sur l'environnement, car il est absolument nécessaire de les traiter dans le cadre des lois internationales et du droit international des droits de l'Homme».
Dans le même contexte, le chef du gouvernement d’expédition des affaires courantes a insisté sur l'importance «d'élargir les mécanismes de financement pour répondre aux défis grandissants des dommages». Il a également plaidé en faveur d'une extension de leur portée «pour inclure la reconstruction d'une économie verte et durable au Liban».
Macron
M.Mikati s'est par ailleurs entretenu avec le président français Emmanuel Macron. Au menu des discussions, la dernière visite au Liban de l'envoyé spécial, Jean-Yves Le Drian, qui a rencontré les différents responsables libanais pour tenter de débloquer le dossier présidentiel, ainsi que la prolongation du mandat du commandant en chef de l'armée Joseph Aoun.
Le Premier ministre sortant s'est également entretenu avec le Premier ministre écossais, Houmza Youssef, le Premier ministre irlandais, Leo Varadkar, et la présidente du Conseil des ministres italien, Giorgia Meloni.
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