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- Geagea condamne la création des «Avant-gardes du Déluge d'Al-Aqsa»
Le chef des Forces libanaises (FL), Samir Geagea, a fermement dénoncé l’annonce, lundi, par la branche du Liban du Hamas, de la création d’un nouveau groupuscule baptisé «Avant-gardes du Déluge d’Al-Aqsa», qui a pour mission de «libérer Jérusalem et la mosquée Al-Aqsa».
«Une telle déclaration est inacceptable, dans la forme et dans le fond», a martelé, mercredi, le chef des FL avant de préciser que cette démarche «porte atteinte à la souveraineté libanaise et nuit, une fois de plus, aux relations entre les Libanais et les Palestiniens». D’après lui, «il est évident que le Hamas, ainsi que d’autres organismes établis au Liban, sont soumis aux commandements et aux décisions du Hezbollah» et «qu’il est impossible que le Hamas entreprenne des actions militaires à partir du territoire libanais sans la connaissance et l’approbation du parti (pro-iranien, ndlr.)». Par ailleurs, il se dit surpris par la réaction du gouvernement, et plus particulièrement du Premier ministre sortant, Najib Mikati, ainsi que celle des ministres sortants de la Défense et de l’Intérieur «qui n’ont pas eu de position ferme à ce sujet, à un moment où le Cabinet est tenu de faire pression sur le Hezbollah pour qu’il arrête cette ‘mascarade’».
Il rappelle, dans ce contexte, les séances de dialogue qui se sont tenues en 2006, avec la participation personnelle du secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, dans lesquelles, entre autres, la nécessité de désarmer les Palestiniens hors et dans les camps a été discutée, élément que le Hezbollah semble avoir contourné, notamment après l’annonce de la création des «Avant-gardes du Déluge d’Al-Aqsa».
«Une telle déclaration est inacceptable, dans la forme et dans le fond», a martelé, mercredi, le chef des FL avant de préciser que cette démarche «porte atteinte à la souveraineté libanaise et nuit, une fois de plus, aux relations entre les Libanais et les Palestiniens». D’après lui, «il est évident que le Hamas, ainsi que d’autres organismes établis au Liban, sont soumis aux commandements et aux décisions du Hezbollah» et «qu’il est impossible que le Hamas entreprenne des actions militaires à partir du territoire libanais sans la connaissance et l’approbation du parti (pro-iranien, ndlr.)». Par ailleurs, il se dit surpris par la réaction du gouvernement, et plus particulièrement du Premier ministre sortant, Najib Mikati, ainsi que celle des ministres sortants de la Défense et de l’Intérieur «qui n’ont pas eu de position ferme à ce sujet, à un moment où le Cabinet est tenu de faire pression sur le Hezbollah pour qu’il arrête cette ‘mascarade’».
Il rappelle, dans ce contexte, les séances de dialogue qui se sont tenues en 2006, avec la participation personnelle du secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, dans lesquelles, entre autres, la nécessité de désarmer les Palestiniens hors et dans les camps a été discutée, élément que le Hezbollah semble avoir contourné, notamment après l’annonce de la création des «Avant-gardes du Déluge d’Al-Aqsa».
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