Le conseil économique et social du parti Kataëb a critiqué dans un communiqué mardi après-midi l'avant-projet de budget 2022, accusant les autorités de "déni" parce qu'elles ne tiennent pas compte de la crise que traverse le pays", et leur reprochant un "manque de réalisme vis-à-vis de la situation socio-économique".
Le parti a proposé aux autorités une feuille de route axée autour de six points : un budget faisant partie d’un plan complet et cohésif pour sauver le pays conformément aux lois et à la Constitution (i) ; un budget dont les bases fondamentales sont saines, correctes et préparées de manière annuelle (ii) ; une évaluation du secteur public et de la grille des salaires (iii) ; une suppression des caisses, commissions et conseils constituant des paravents de corruption et de pots-de-vin confessionnels et partisans (iv) ; une concentration sur le dossier de l’électricité qui a coûté des milliards en pertes sèches et trouver une solution à ce problème (v) ; une prise en considération des conditions de vie et des circonstances humaines catastrophiques issues des problèmes politiques et économiques (vi) ; car le projet de budget, tel qu’il est actuellement proposé, "ne répond pas à la stratégie du plan de redressement économique" et favoriserait "une mainmise sur les institutions étatiques".
Le parti a proposé aux autorités une feuille de route axée autour de six points : un budget faisant partie d’un plan complet et cohésif pour sauver le pays conformément aux lois et à la Constitution (i) ; un budget dont les bases fondamentales sont saines, correctes et préparées de manière annuelle (ii) ; une évaluation du secteur public et de la grille des salaires (iii) ; une suppression des caisses, commissions et conseils constituant des paravents de corruption et de pots-de-vin confessionnels et partisans (iv) ; une concentration sur le dossier de l’électricité qui a coûté des milliards en pertes sèches et trouver une solution à ce problème (v) ; une prise en considération des conditions de vie et des circonstances humaines catastrophiques issues des problèmes politiques et économiques (vi) ; car le projet de budget, tel qu’il est actuellement proposé, "ne répond pas à la stratégie du plan de redressement économique" et favoriserait "une mainmise sur les institutions étatiques".
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