En cette période de Noël, malgré les échos des bombardements dans le Liban-Sud, la famille Nour s'apprête à célébrer la fête avec une détermination et une joie inébranlables. Georges Nour, son épouse Hala, leurs enfants et toute la famille se réuniront dans leur demeure familiale, «Beit Nour», qui fait également office de maison d’hôtes. Dans cet espace chargé d'histoire et de souvenirs, la famille s'efforce de maintenir un esprit de fête et de résilience, témoignant de leur capacité à trouver la lumière même dans les moments les plus sombres.
Lors d’un entretien avec Ici Beyrouth, Georges Nour raconte l’histoire inspirante de la demeure familiale qui s’est parée de tous ses atours pour célébrer Noël, en dépit de l’escalade sécuritaire que vit le Liban-Sud: «Beit Nour», située dans le charmant port de Tyr. Cette maison, riche de plus de 250 ans d’histoire, a été rénovée par la quatrième génération de la famille Nour en 2010. Transformée en maison d’hôte en juillet 2019 après une décennie de rénovation, «Beit Nour» a commencé à accueillir des hôtes, offrant une capacité d’hébergement de 6 à 9 personnes dans 3 des 10 chambres disponibles.
Chaque chambre, conçue pour accueillir 2 à 3 personnes, allie le charme de l’ancien au confort moderne, proposant aux visiteurs une expérience authentique et unique. Malgré l’attrait touristique de Tyr, qui a attiré plus de 600.000 visiteurs cet été, «Beit Nour» a dû faire face aux mêmes défis que de nombreux autres établissements locaux, notamment en raison de l’absence de réservations pendant la période des fêtes. Ces difficultés surviennent malgré des investissements considérables dans les infrastructures, réalisés sans soutien gouvernemental.
Georges Nour exprime sa déception face à cette situation, tout en faisant preuve d'une résilience remarquable. Bien qu'il reconnaisse l'impact significatif de la guerre à Gaza et ses retombées sur le tourisme au Liban-Sud, il reste optimiste quant à l’avenir, insistant sur l’importance pour les Libanais de ne pas se laisser dominer par la peur et de continuer à vivre avec courage et détermination. «Beit Nour» aspire à être un symbole de cette résilience, en accueillant des visiteurs de divers horizons pour partager et célébrer la richesse de la culture et de l'histoire de Tyr.
Lors d’un entretien avec Ici Beyrouth, Georges Nour raconte l’histoire inspirante de la demeure familiale qui s’est parée de tous ses atours pour célébrer Noël, en dépit de l’escalade sécuritaire que vit le Liban-Sud: «Beit Nour», située dans le charmant port de Tyr. Cette maison, riche de plus de 250 ans d’histoire, a été rénovée par la quatrième génération de la famille Nour en 2010. Transformée en maison d’hôte en juillet 2019 après une décennie de rénovation, «Beit Nour» a commencé à accueillir des hôtes, offrant une capacité d’hébergement de 6 à 9 personnes dans 3 des 10 chambres disponibles.
Chaque chambre, conçue pour accueillir 2 à 3 personnes, allie le charme de l’ancien au confort moderne, proposant aux visiteurs une expérience authentique et unique. Malgré l’attrait touristique de Tyr, qui a attiré plus de 600.000 visiteurs cet été, «Beit Nour» a dû faire face aux mêmes défis que de nombreux autres établissements locaux, notamment en raison de l’absence de réservations pendant la période des fêtes. Ces difficultés surviennent malgré des investissements considérables dans les infrastructures, réalisés sans soutien gouvernemental.
Georges Nour exprime sa déception face à cette situation, tout en faisant preuve d'une résilience remarquable. Bien qu'il reconnaisse l'impact significatif de la guerre à Gaza et ses retombées sur le tourisme au Liban-Sud, il reste optimiste quant à l’avenir, insistant sur l’importance pour les Libanais de ne pas se laisser dominer par la peur et de continuer à vivre avec courage et détermination. «Beit Nour» aspire à être un symbole de cette résilience, en accueillant des visiteurs de divers horizons pour partager et célébrer la richesse de la culture et de l'histoire de Tyr.
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