La Finul a condamné, jeudi, l’agression contre une patrouille de ses soldats, dans la nuit de mercredi, à Taybé (Liban-Sud). Jeudi, aussi, des accrochages entre les habitants et une patrouille de soldats français ont eu lieu au village de Kfar Kila.
L’incident s’est deroulé lorsque les casques bleus français ont essayé d’accéder aux quartiers résidentiels de Kfar Kila, ce qui a suscité la colère des habitants. Ces derniers ont dénoncé l'inaction de la Finul durant les trois mois d’affrontements à la frontière entre le Liban et Israël, depuis le début de la guerre à Gaza, le 7 octobre dernier.
Dans un communiqué, la Finul avait, par ailleurs, dénoncé l’incident à Taybé le qualifiant de «violation de la résolution 1701 et du droit libanais.
Lors d’une attaque menée par un groupe de jeunes hommes, un Casque bleu a été blessé et un véhicule a également été endommagé, selon le communiqué.
De ce fait, la Finul a demandé aux autorités libanaises de «mener une enquête complète et rapide et de traduire tous les auteurs en justice».
«La liberté de mouvement des Casques bleus est vitale, puisque nous travaillons à restaurer la sécurité et la stabilité le long de la Ligne bleue», peut-on lire dans le communiqué.
En conclusion, la Finul a affirmé que les Casques bleus restent «mobilisés» et poursuivent leur «travail essentiel de surveillance et de désescalade» au Liban-Sud.
L’incident s’est deroulé lorsque les casques bleus français ont essayé d’accéder aux quartiers résidentiels de Kfar Kila, ce qui a suscité la colère des habitants. Ces derniers ont dénoncé l'inaction de la Finul durant les trois mois d’affrontements à la frontière entre le Liban et Israël, depuis le début de la guerre à Gaza, le 7 octobre dernier.
Dans un communiqué, la Finul avait, par ailleurs, dénoncé l’incident à Taybé le qualifiant de «violation de la résolution 1701 et du droit libanais.
Lors d’une attaque menée par un groupe de jeunes hommes, un Casque bleu a été blessé et un véhicule a également été endommagé, selon le communiqué.
De ce fait, la Finul a demandé aux autorités libanaises de «mener une enquête complète et rapide et de traduire tous les auteurs en justice».
«La liberté de mouvement des Casques bleus est vitale, puisque nous travaillons à restaurer la sécurité et la stabilité le long de la Ligne bleue», peut-on lire dans le communiqué.
En conclusion, la Finul a affirmé que les Casques bleus restent «mobilisés» et poursuivent leur «travail essentiel de surveillance et de désescalade» au Liban-Sud.
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