Les Forces de sécurité intérieure (FSI) ont annoncé, samedi, avoir arrêté, le 22 décembre à Furn El-Chebbak, le Soudanais H.A. (né en 1993), meurtrier présumé de la jeune femme éthiopienne L.N. (née en 1989), dont le corps a été retrouvé, le 16 décembre, dans une benne à ordures à Souk el-Ahad.
Dans un communiqué, les FSI ont expliqué que «des éboueurs avaient découvert le corps». «Elle avait les pieds ligotés et avait reçu des coups sur le visage, lit-on dans le document. Elle avait autour du cou le câble d’un téléphone portable. Le corps de la jeune femme a été placé dans un grand sac et jeté dans une benne à ordures.»
L’enquête menée par les unités spécialisées des FSI a permis de soupçonner un homme soudanais, qui travaille comme gardien d’immeuble dans la région de Furn el-Chebbak. Selon le communiqué des FSI, il aurait entretenu une relation amoureuse avec la victime.
Au cours de l’interrogatoire, H.A. a avoué avoir commis le crime à la suite d’une dispute avec la victime. «L’altercation a dégénéré et il l’a frappée à la tête avec un plat en verre, lit-on dans le communiqué. En tombant, elle s’est cogné la tête contre une table en verre. Il l’a, par la suite, étranglée avec le câble d’un téléphone portable, lui a ligoté les pieds et s’est débarrassé du corps.»
Toujours selon le communiqué, «H.A. a transporté la victime dans une benne à ordures, jusqu’à une décharge dans la zone de Souk el-Ahad, où il l’a brutalement jetée».
L’enquête a révélé que H.A. s’était introduit au Liban de manière clandestine, via la Syrie, utilisant de fausses pièces d’identité afin de se déplacer et de travailler. Lors de l’inspection, les FSI ont trouvé dans son portefeuille les photos de deux demandes d’asile fournies par une agence onusienne. Les noms inscrits sur les demandes d’asile sont différents.
Une enquête a été ouverte et H.A. a été déféré devant les autorités judiciaires compétentes.
Dans un communiqué, les FSI ont expliqué que «des éboueurs avaient découvert le corps». «Elle avait les pieds ligotés et avait reçu des coups sur le visage, lit-on dans le document. Elle avait autour du cou le câble d’un téléphone portable. Le corps de la jeune femme a été placé dans un grand sac et jeté dans une benne à ordures.»
L’enquête menée par les unités spécialisées des FSI a permis de soupçonner un homme soudanais, qui travaille comme gardien d’immeuble dans la région de Furn el-Chebbak. Selon le communiqué des FSI, il aurait entretenu une relation amoureuse avec la victime.
Au cours de l’interrogatoire, H.A. a avoué avoir commis le crime à la suite d’une dispute avec la victime. «L’altercation a dégénéré et il l’a frappée à la tête avec un plat en verre, lit-on dans le communiqué. En tombant, elle s’est cogné la tête contre une table en verre. Il l’a, par la suite, étranglée avec le câble d’un téléphone portable, lui a ligoté les pieds et s’est débarrassé du corps.»
Toujours selon le communiqué, «H.A. a transporté la victime dans une benne à ordures, jusqu’à une décharge dans la zone de Souk el-Ahad, où il l’a brutalement jetée».
L’enquête a révélé que H.A. s’était introduit au Liban de manière clandestine, via la Syrie, utilisant de fausses pièces d’identité afin de se déplacer et de travailler. Lors de l’inspection, les FSI ont trouvé dans son portefeuille les photos de deux demandes d’asile fournies par une agence onusienne. Les noms inscrits sur les demandes d’asile sont différents.
Une enquête a été ouverte et H.A. a été déféré devant les autorités judiciaires compétentes.
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