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- Skaff: Le discours de Nasrallah moins alarmant que prévu
Le député Ghassan Skaff a appelé, jeudi matin, les députés de la nation à se rassembler pour élire un président de la République comme ils ont pu le faire pour la prorogation d’un an du mandat du commandant de l’armée et des dirigeants des services de sécurité.
Le député de Zahlé a aussi certifié, dans un entretien accordé à la radio La voix de tout le Liban, qu’une réunion en ce sens «n’est pas impossible au Parlement», appelant ainsi les différents groupes politiques à «faire preuve d’un peu d’humilité et de beaucoup de responsabilité». Il a par ailleurs rebondi sur le discours prononcé, mercredi, par le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, estimant qu’il était mesuré, voire «moins alarmant que prévu», surtout si on considère que l’allocution s’est tenue au lendemain de l’assassinat du haut responsable du Hamas.
Il a aussi «souhaité que les tractations en coulisses entre Américains et Iraniens puissent se poursuivre» et «aboutir à une stabilité dans la région». Le député craint cependant que les assassinats d’El-Arouri et, avant lui, du conseiller militaire iranien, Razi Moussawi, tué le 25 décembre en Syrie, «n’entravent ces négociations», ce qui pousserait le Liban à «payer un lourd tribut».
Le député de Zahlé a aussi certifié, dans un entretien accordé à la radio La voix de tout le Liban, qu’une réunion en ce sens «n’est pas impossible au Parlement», appelant ainsi les différents groupes politiques à «faire preuve d’un peu d’humilité et de beaucoup de responsabilité». Il a par ailleurs rebondi sur le discours prononcé, mercredi, par le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, estimant qu’il était mesuré, voire «moins alarmant que prévu», surtout si on considère que l’allocution s’est tenue au lendemain de l’assassinat du haut responsable du Hamas.
Il a aussi «souhaité que les tractations en coulisses entre Américains et Iraniens puissent se poursuivre» et «aboutir à une stabilité dans la région». Le député craint cependant que les assassinats d’El-Arouri et, avant lui, du conseiller militaire iranien, Razi Moussawi, tué le 25 décembre en Syrie, «n’entravent ces négociations», ce qui pousserait le Liban à «payer un lourd tribut».
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