Le Suédois Mattias Ekström a été le plus rapide vendredi sur le prologue du Dakar 2024, une spéciale de 27 km dans le sable d'Al-Ula, pour le lancement de la 46e édition du rallye-raid dans le nord-ouest de l'Arabie saoudite.
Déjà vainqueur du prologue en 2023, il signe cette année un temps de 16 min 30 sec, 23 secondes devant l'Américain Seth Quintero (Toyota), qui vient de passer dans la catégorie reine, après trois Dakar en T3 (prototype léger).
"Les sensations étaient bonnes, je voulais prouver que j'étais là pour jouer dans la cour des grands. Ça a très bien marché, il y avait pas mal de pièges et on s'est bien débrouillé", a-t-il déclaré à l'issue du prologue.
Quintero, 21 ans, a la lourde tâche de succéder à Nasser Al-Attiyah, vainqueur des deux dernières éditions, parti chez Prodrive cette saison.
Le Français Sébastien Loeb (Prodrive), 2e de la dernière édition, termine à la 3e place, à 38 secondes.
"Ce n'était pas si simple. On ne savait pas trop s'il fallait attaquer ou gérer pour être derrière (pour ne pas ouvrir la piste samedi, NDLR). Mais, j'avais peur d'être trop loin derrière. J'ai préféré prendre le côté +attaque+ et essayer de faire un bon temps", a souligné le nonuple champion du monde de rallye.
L'enjeu de ce prologue permet de déterminer l'ordre de départ de la première étape samedi pour les dix premiers concurrents en auto et moto.
Le Français Stéphane Peterhansel (Audi) signe le 7e temps (+45 sec) alors que l'Espagnol Carlos Sainz, triple vainqueur de l'épreuve (Audi), est très loin du top 10, à 2 min 18 sec.
Le vainqueur de l'édition 2023, le Qatarien Nasser Al-Attiyah (Prodrive) a pris la 12e place à 1 min 01 sec.
"C'est bien de voir que tout fonctionne dans une nouvelle voiture", s'est réjoui le Français Mathieu Baumel, copilote d'Al-Attiyah.
"Il fallait gagner ou ne pas être dans les 10. On aurait voulu faire exprès d'être 12e on n'aurait pas réussi, c'est une très bonne place", a-t-il ajouté.
Les frères Benavides dans le top 10
Du côté des motos, l'Espagnol Tosha Schareina (Honda) a signé le meilleur temps du prologue en 17 min 35 sec, devant l'Australien Daniel Sanders (GasGas) (7e l'an dernier) à 12 secondes.
Le premier Français, Adrien Van Beveren (Honda), fait le 4e temps à 24 secondes.
L'Argentin Luciano Benavides (Husqvarna), champion du monde, termine 5e à 26 secondes. Son frère Kevin (KTM) vainqueur du dernier Dakar, signe le 9e temps à 56 secondes.
"Le prologue était court mais avec beaucoup de navigation. J'ai fait une bonne course, je suis heureux du résultat étant donné que j'ai passé beaucoup de temps sans rouler (à cause de plusieurs blessures, NDLR)", a déclaré Kevin Benavides à l'issue du prologue.
Samedi pour la 1ère étape, les participants partiront de nouveau d'Al-Ula, connu pour ses vestiges archéologiques datant de l'époque nabatéenne, pour rejoindre Al-Henakiyah, en direction du sud.
Le parcours du Dakar 2024, première manche du championnat du monde de rallye-raid, traverse pour la cinquième année les sables d'Arabie saoudite, un parcours que le patron de l'épreuve a voulu "difficile".
Plus de 750 concurrents s'affronteront en moto, auto, quad et camions en traversant près de 8.000 km en deux semaines.
Les vainqueurs seront désignés à l'issue de la 12e étape, le 19 janvier, à Yanbu sur les rivages de la mer Rouge.
Déjà vainqueur du prologue en 2023, il signe cette année un temps de 16 min 30 sec, 23 secondes devant l'Américain Seth Quintero (Toyota), qui vient de passer dans la catégorie reine, après trois Dakar en T3 (prototype léger).
"Les sensations étaient bonnes, je voulais prouver que j'étais là pour jouer dans la cour des grands. Ça a très bien marché, il y avait pas mal de pièges et on s'est bien débrouillé", a-t-il déclaré à l'issue du prologue.
Quintero, 21 ans, a la lourde tâche de succéder à Nasser Al-Attiyah, vainqueur des deux dernières éditions, parti chez Prodrive cette saison.
Le Français Sébastien Loeb (Prodrive), 2e de la dernière édition, termine à la 3e place, à 38 secondes.
"Ce n'était pas si simple. On ne savait pas trop s'il fallait attaquer ou gérer pour être derrière (pour ne pas ouvrir la piste samedi, NDLR). Mais, j'avais peur d'être trop loin derrière. J'ai préféré prendre le côté +attaque+ et essayer de faire un bon temps", a souligné le nonuple champion du monde de rallye.
L'enjeu de ce prologue permet de déterminer l'ordre de départ de la première étape samedi pour les dix premiers concurrents en auto et moto.
Le Français Stéphane Peterhansel (Audi) signe le 7e temps (+45 sec) alors que l'Espagnol Carlos Sainz, triple vainqueur de l'épreuve (Audi), est très loin du top 10, à 2 min 18 sec.
Le vainqueur de l'édition 2023, le Qatarien Nasser Al-Attiyah (Prodrive) a pris la 12e place à 1 min 01 sec.
"C'est bien de voir que tout fonctionne dans une nouvelle voiture", s'est réjoui le Français Mathieu Baumel, copilote d'Al-Attiyah.
"Il fallait gagner ou ne pas être dans les 10. On aurait voulu faire exprès d'être 12e on n'aurait pas réussi, c'est une très bonne place", a-t-il ajouté.
Les frères Benavides dans le top 10
Du côté des motos, l'Espagnol Tosha Schareina (Honda) a signé le meilleur temps du prologue en 17 min 35 sec, devant l'Australien Daniel Sanders (GasGas) (7e l'an dernier) à 12 secondes.
Le premier Français, Adrien Van Beveren (Honda), fait le 4e temps à 24 secondes.
L'Argentin Luciano Benavides (Husqvarna), champion du monde, termine 5e à 26 secondes. Son frère Kevin (KTM) vainqueur du dernier Dakar, signe le 9e temps à 56 secondes.
"Le prologue était court mais avec beaucoup de navigation. J'ai fait une bonne course, je suis heureux du résultat étant donné que j'ai passé beaucoup de temps sans rouler (à cause de plusieurs blessures, NDLR)", a déclaré Kevin Benavides à l'issue du prologue.
Samedi pour la 1ère étape, les participants partiront de nouveau d'Al-Ula, connu pour ses vestiges archéologiques datant de l'époque nabatéenne, pour rejoindre Al-Henakiyah, en direction du sud.
Le parcours du Dakar 2024, première manche du championnat du monde de rallye-raid, traverse pour la cinquième année les sables d'Arabie saoudite, un parcours que le patron de l'épreuve a voulu "difficile".
Plus de 750 concurrents s'affronteront en moto, auto, quad et camions en traversant près de 8.000 km en deux semaines.
Les vainqueurs seront désignés à l'issue de la 12e étape, le 19 janvier, à Yanbu sur les rivages de la mer Rouge.
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