Le pape François a exprimé, lundi, sa «préoccupation pour la situation sociale et économique» dans laquelle se trouve le Liban. «J’espère que l’impasse institutionnelle qui le met de plus en plus à genoux sera résolue et que le pays du Cèdre aura bientôt un président», a-t-il déclaré dans son traditionnel discours de début d’année devant le corps diplomatique.
Renouvelant son «inquiétude face à ce qui se passe en Israël et en Palestine», le pape a condamné «toutes les formes de terrorisme et d’extrémisme». «Je réitère mon appel à toutes les parties concernées en faveur d'un cessez-le-feu sur tous les fronts, y compris au Liban, et pour la libération immédiate de tous les otages à Gaza», a-t-il poursuivi devant 180 diplomates réunis dans la salle des Bénédictions de la basilique Saint-Pierre.
«Je demande que la population palestinienne reçoive une aide humanitaire et que les hôpitaux, les écoles et les lieux de culte bénéficient de toute la protection nécessaire, a-t-il encore dit. J’espère que la communauté internationale poursuivra résolument la solution à deux États, l’un israélien et l’autre palestinien, avec un statut spécial internationalement garanti pour la ville de Jérusalem, afin qu’Israéliens et Palestiniens puissent enfin vivre dans la paix et la sécurité.»
«Dans un contexte où le discernement entre objectifs militaires et civils n'est manifestement plus observé, il n’y a pas de conflit qui ne finisse en quelque sorte par frapper aveuglément la population civile, a encore insisté le pape François. Les événements en Ukraine et à Gaza en sont la preuve évidente.»
«Les victimes civiles ne sont pas des dommages collatéraux. Ce sont des hommes et des femmes avec des noms et des prénoms qui perdent la vie. Ce sont des enfants qui restent orphelins et privés d’avenir. Ce sont des personnes qui souffrent de la faim, de la soif et du froid ou qui restent mutilées à cause de la puissance des engins modernes», a encore martelé le pape, appelant à un meilleur engagement de la communauté internationale pour «protéger et mettre en œuvre le droit humanitaire, qui semble être la seule voie permettant de sauvegarder de la dignité humaine dans les situations de guerre».
Évoquant le réchauffement climatique, les questions de bioéthique mais aussi la persécution des chrétiens dans le monde, le pape s’est livré pendant 45 minutes à un tour d’horizon des enjeux internationaux. Il a en outre fait état de sa «préoccupation» face à l’augmentation du nombre des actes antisémites survenus ces derniers mois.
Renouvelant son «inquiétude face à ce qui se passe en Israël et en Palestine», le pape a condamné «toutes les formes de terrorisme et d’extrémisme». «Je réitère mon appel à toutes les parties concernées en faveur d'un cessez-le-feu sur tous les fronts, y compris au Liban, et pour la libération immédiate de tous les otages à Gaza», a-t-il poursuivi devant 180 diplomates réunis dans la salle des Bénédictions de la basilique Saint-Pierre.
«Je demande que la population palestinienne reçoive une aide humanitaire et que les hôpitaux, les écoles et les lieux de culte bénéficient de toute la protection nécessaire, a-t-il encore dit. J’espère que la communauté internationale poursuivra résolument la solution à deux États, l’un israélien et l’autre palestinien, avec un statut spécial internationalement garanti pour la ville de Jérusalem, afin qu’Israéliens et Palestiniens puissent enfin vivre dans la paix et la sécurité.»
«Dans un contexte où le discernement entre objectifs militaires et civils n'est manifestement plus observé, il n’y a pas de conflit qui ne finisse en quelque sorte par frapper aveuglément la population civile, a encore insisté le pape François. Les événements en Ukraine et à Gaza en sont la preuve évidente.»
«Les victimes civiles ne sont pas des dommages collatéraux. Ce sont des hommes et des femmes avec des noms et des prénoms qui perdent la vie. Ce sont des enfants qui restent orphelins et privés d’avenir. Ce sont des personnes qui souffrent de la faim, de la soif et du froid ou qui restent mutilées à cause de la puissance des engins modernes», a encore martelé le pape, appelant à un meilleur engagement de la communauté internationale pour «protéger et mettre en œuvre le droit humanitaire, qui semble être la seule voie permettant de sauvegarder de la dignité humaine dans les situations de guerre».
Évoquant le réchauffement climatique, les questions de bioéthique mais aussi la persécution des chrétiens dans le monde, le pape s’est livré pendant 45 minutes à un tour d’horizon des enjeux internationaux. Il a en outre fait état de sa «préoccupation» face à l’augmentation du nombre des actes antisémites survenus ces derniers mois.
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