Samuel Theis, réalisateur et acteur renommé, fait l’objet d’une enquête pour une accusation de viol, à la suite d’événements survenus lors du tournage de son dernier film. Cette affaire, qui soulève des questions délicates sur la gestion des accusations de violences sexuelles dans le cinéma, a conduit à des mesures exceptionnelles sur le plateau de tournage.
Une enquête a été lancée contre le réalisateur et acteur français Samuel Theis, connu pour son rôle dans le film Anatomie d’une chute, à la suite d’une accusation de viol. Le procureur de la République à Metz a confirmé que la plainte a été déposée fin juillet et une enquête préliminaire est en cours, validant ainsi des informations publiées initialement par Télérama. Une seconde plainte avec constitution de partie civile a été enregistrée à la mi-novembre.
Selon les informations rapportées par Télérama, l’incident présumé se serait produit l’été dernier, durant le tournage du film Je le jure, mettant en vedette Louise Bourgoin et Marina Foïs. Un technicien de 27 ans accuse Theis d’avoir imposé un rapport sexuel non consenti dans l’appartement loué par la production, après une soirée arrosée. Le technicien aurait ensuite quitté le tournage, en accord avec la production.
Samuel Theis, âgé de 45 ans, a réagi à ces allégations. Il reconnaît avoir eu une relation sexuelle orale, mais affirme qu’elle était consentie. Cette déclaration intervient après qu’une enquête interne a été initiée, à la suite d’un SMS du technicien exprimant son malaise et la sensation d’avoir subi une agression sexuelle. Le réalisateur insiste sur le fait que cette enquête interne n’a révélé «aucun élément probant» d’une faute de sa part. Il n’a pas été entendu par la justice et déclare avoir été informé de la plainte par la presse.
Le communiqué de Theis, transmis par son avocate Me Marie Dosé, souligne le besoin de traiter l’accusation dans un cadre strictement judiciaire et critique la diffusion d’informations jugées «insidieuses et erronées». Par ailleurs, à la suite de ces allégations, un protocole de confinement strict a été mis en place sur le tournage, isolant physiquement Theis de son équipe. Ce dispositif, conçu par les producteurs, visait à équilibrer la prise en compte des affirmations du plaignant tout en permettant la poursuite du tournage. Un fonds d’assurance a également été mis en place pour couvrir les interruptions de tournage en cas d’accusations de violences sexuelles, mais il n’est activé qu’après dépôt d’une plainte.
Samuel Theis, affecté par la situation, a décrit le protocole comme un «moindre mal» nécessaire, même s’il l’a trouvé difficile à supporter, se sentant «exclu de son propre tournage». L’affaire continue de susciter des réactions dans le milieu cinématographique et au-delà, soulignant la complexité des enjeux liés aux accusations de violences sexuelles dans le secteur.
Avec AFP
Une enquête a été lancée contre le réalisateur et acteur français Samuel Theis, connu pour son rôle dans le film Anatomie d’une chute, à la suite d’une accusation de viol. Le procureur de la République à Metz a confirmé que la plainte a été déposée fin juillet et une enquête préliminaire est en cours, validant ainsi des informations publiées initialement par Télérama. Une seconde plainte avec constitution de partie civile a été enregistrée à la mi-novembre.
Selon les informations rapportées par Télérama, l’incident présumé se serait produit l’été dernier, durant le tournage du film Je le jure, mettant en vedette Louise Bourgoin et Marina Foïs. Un technicien de 27 ans accuse Theis d’avoir imposé un rapport sexuel non consenti dans l’appartement loué par la production, après une soirée arrosée. Le technicien aurait ensuite quitté le tournage, en accord avec la production.
Samuel Theis, âgé de 45 ans, a réagi à ces allégations. Il reconnaît avoir eu une relation sexuelle orale, mais affirme qu’elle était consentie. Cette déclaration intervient après qu’une enquête interne a été initiée, à la suite d’un SMS du technicien exprimant son malaise et la sensation d’avoir subi une agression sexuelle. Le réalisateur insiste sur le fait que cette enquête interne n’a révélé «aucun élément probant» d’une faute de sa part. Il n’a pas été entendu par la justice et déclare avoir été informé de la plainte par la presse.
Le communiqué de Theis, transmis par son avocate Me Marie Dosé, souligne le besoin de traiter l’accusation dans un cadre strictement judiciaire et critique la diffusion d’informations jugées «insidieuses et erronées». Par ailleurs, à la suite de ces allégations, un protocole de confinement strict a été mis en place sur le tournage, isolant physiquement Theis de son équipe. Ce dispositif, conçu par les producteurs, visait à équilibrer la prise en compte des affirmations du plaignant tout en permettant la poursuite du tournage. Un fonds d’assurance a également été mis en place pour couvrir les interruptions de tournage en cas d’accusations de violences sexuelles, mais il n’est activé qu’après dépôt d’une plainte.
Samuel Theis, affecté par la situation, a décrit le protocole comme un «moindre mal» nécessaire, même s’il l’a trouvé difficile à supporter, se sentant «exclu de son propre tournage». L’affaire continue de susciter des réactions dans le milieu cinématographique et au-delà, soulignant la complexité des enjeux liés aux accusations de violences sexuelles dans le secteur.
Avec AFP
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