Le patriarche maronite, Mgr Béchara Raï réitère, dimanche, dans son homélie, «son refus de destituer le chef de l’État chrétien maronite».
«Nous ne pouvons accepter l’absence du chef de l'État chrétien maronite», défend le prélat. «Certains partis politiques font obstacle à l’élection d’un président en raison d’objectifs personnels et suspects avec l’intention d’amputer le chef de l’État», déplore-t-il.
Le patriarche maronite souligne par ailleurs qu’«il ne peut être accepté de lier l’élection du président à l’arrêt de la guerre à Gaza».
Il regrette, par ailleurs, que la délimitation des frontières «dont on a beaucoup parlé avec un mouvement international» allant dans ce sens, ait lieu alors que la fonction de président «est vacante» et que le gouvernement ne dispose pas «des pleins pouvoirs», notant toutefois que «ces frontières sont tracées et établies ».
Le patriarche maronite a aussi appelé «à la mise en œuvre des résolutions internationales concernant le sud (la 1701)» tout en demandant «à ne pas apporter de modifications aux frontières et ce, à la lumière du vide présidentiel actuel».
«Nous ne pouvons accepter l’absence du chef de l'État chrétien maronite», défend le prélat. «Certains partis politiques font obstacle à l’élection d’un président en raison d’objectifs personnels et suspects avec l’intention d’amputer le chef de l’État», déplore-t-il.
Le patriarche maronite souligne par ailleurs qu’«il ne peut être accepté de lier l’élection du président à l’arrêt de la guerre à Gaza».
Il regrette, par ailleurs, que la délimitation des frontières «dont on a beaucoup parlé avec un mouvement international» allant dans ce sens, ait lieu alors que la fonction de président «est vacante» et que le gouvernement ne dispose pas «des pleins pouvoirs», notant toutefois que «ces frontières sont tracées et établies ».
Le patriarche maronite a aussi appelé «à la mise en œuvre des résolutions internationales concernant le sud (la 1701)» tout en demandant «à ne pas apporter de modifications aux frontières et ce, à la lumière du vide présidentiel actuel».
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