Le métropolite de Beyrouth, Élias Audi, déclare, dimanche, que le Liban souffre d’un vide au sein des administrations et des institutions, qu’il est confronté à des difficultés dues à la détérioration de l’économie et qu’il risque de sombrer dans la guerre. Il insiste également sur la nécessité de faire prévaloir la sagesse et la diplomatie sur le bruit des armes et appelle à une solution juste pour la question palestinienne.
Dans son homélie, Mgr Audi souligne l’importance du repentir, de l’introspection et de la contemplation des péchés et de l’ignorance commis par les humains, ainsi que par les détenteurs du pouvoir qui négligent leurs devoirs ou suivent des chemins tortueux qui ont conduit le pays et son peuple à la douloureuse réalité actuelle.
Le prélat déclare: «Outre l’absence d’un président et d’un gouvernement pleinement habilité, nous souffrons d’un vide dans les administrations et les institutions, de difficultés résultant de la détérioration économique et du danger de sombrer dans une guerre que la plupart des Libanais craignent et rejettent, car elle conduirait à la destruction de ce qui reste de ce pays et à l’élimination de son peuple. Nous sommes entourés d’un monde indifférent, à la recherche de ses propres intérêts, qui ne veut pas arrêter le crime contre des gens qui sont tués sans pitié, dont les maisons, les temples, les écoles et les hôpitaux sont détruits et qui vivent sans eau, sans nourriture et sans médicaments.»
Il critique par ailleurs les Nations unies, les décrivant comme impuissantes face à de telles atrocités et s’interroge sur leur utilité dans de telles circonstances, exprimant le besoin urgent d’un leader qui prenne le contrôle de la situation, éloigne le Liban de la guerre et parle au nom du pays, en négociant en faveur de ses intérêts et en élevant la voix pour protéger ses frontières et sa souveraineté, en plus d’assurer la paix et la stabilité à son peuple.
Le métropolite conclut en exprimant l’espoir que la voix de la sagesse et de la diplomatie l’emporte sur le bruit des armes, conduisant à la cessation des combats et à la recherche d’une solution juste qui garantisse la paix, la stabilité et la justice pour la Palestine et l’ensemble de la région, soulignant que la guerre ne conduit qu’à la mort et à la destruction.
Dans son homélie, Mgr Audi souligne l’importance du repentir, de l’introspection et de la contemplation des péchés et de l’ignorance commis par les humains, ainsi que par les détenteurs du pouvoir qui négligent leurs devoirs ou suivent des chemins tortueux qui ont conduit le pays et son peuple à la douloureuse réalité actuelle.
Le prélat déclare: «Outre l’absence d’un président et d’un gouvernement pleinement habilité, nous souffrons d’un vide dans les administrations et les institutions, de difficultés résultant de la détérioration économique et du danger de sombrer dans une guerre que la plupart des Libanais craignent et rejettent, car elle conduirait à la destruction de ce qui reste de ce pays et à l’élimination de son peuple. Nous sommes entourés d’un monde indifférent, à la recherche de ses propres intérêts, qui ne veut pas arrêter le crime contre des gens qui sont tués sans pitié, dont les maisons, les temples, les écoles et les hôpitaux sont détruits et qui vivent sans eau, sans nourriture et sans médicaments.»
Il critique par ailleurs les Nations unies, les décrivant comme impuissantes face à de telles atrocités et s’interroge sur leur utilité dans de telles circonstances, exprimant le besoin urgent d’un leader qui prenne le contrôle de la situation, éloigne le Liban de la guerre et parle au nom du pays, en négociant en faveur de ses intérêts et en élevant la voix pour protéger ses frontières et sa souveraineté, en plus d’assurer la paix et la stabilité à son peuple.
Le métropolite conclut en exprimant l’espoir que la voix de la sagesse et de la diplomatie l’emporte sur le bruit des armes, conduisant à la cessation des combats et à la recherche d’une solution juste qui garantisse la paix, la stabilité et la justice pour la Palestine et l’ensemble de la région, soulignant que la guerre ne conduit qu’à la mort et à la destruction.
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