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- Gaza: plus de vingt soldats israéliens tués en un jour
L’armée israélienne a annoncé, mardi, avoir perdu, en une seule journée, 24 hommes au combat à Gaza, dont 21 réservistes. Il s’agit de la journée la plus meurtrière pour Israël depuis le début de son offensive terrestre sur le territoire palestinien le 27 octobre.
Les réservistes sont tous tombés lors d’une seule et même attaque, menée lundi par le mouvement islamiste palestinien Hamas, qui a pris le pouvoir dans la bande de Gaza en 2007. La barre symbolique des 200 militaires israéliens, tués depuis le 27 octobre, avait été franchie lundi. Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, a ouvert une enquête sur ce «désastre». Daniel Hagari, porte-parole de l’armée de l’État hébreu, a fait état d’une frappe par lance-roquettes RPG contre un tank, positionné à proximité de deux bâtiments de deux étages que l’armée voulait raser.
«Les forces œuvraient pour détruire les bâtiments et les infrastructures terroristes (...), à 600 mètres de la frontière» entre Gaza et Israël, a-t-il expliqué lors d’un point de presse télévisé.
«Vers 16 heures, une roquette RPG aurait été tirée par des terroristes sur un char qui assurait la sécurité de la force», a-t-il poursuivi. «Au même moment, une explosion a soufflé les deux bâtiments, qui se sont effondrés en un instant, alors que la majeure partie de la force était encore à l’intérieur ou à proximité.»
Les bâtiments avaient été lourdement minés en vue de leur destruction. La raison pour laquelle ils ont explosé plus tôt que prévu n’avait pas été déterminée mardi.
L’armée a publié, en début de journée, l’identité des réservistes, les uns après les autres, sur son site Internet. «Nous avons travaillé pour localiser les victimes jusqu’aux dernières heures», a déclaré l’officier en mentionnant la difficulté des opérations d’extraction des corps, ensevelis sous les décombres.
«La guerre a un prix lourd, voire très lourd. Nos réservistes ont sacrifié ce qui leur était le plus cher pour que nous puissions tous vivre ici en toute sécurité.»
Maria Chami, avec AFP
Les réservistes sont tous tombés lors d’une seule et même attaque, menée lundi par le mouvement islamiste palestinien Hamas, qui a pris le pouvoir dans la bande de Gaza en 2007. La barre symbolique des 200 militaires israéliens, tués depuis le 27 octobre, avait été franchie lundi. Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, a ouvert une enquête sur ce «désastre». Daniel Hagari, porte-parole de l’armée de l’État hébreu, a fait état d’une frappe par lance-roquettes RPG contre un tank, positionné à proximité de deux bâtiments de deux étages que l’armée voulait raser.
«Les forces œuvraient pour détruire les bâtiments et les infrastructures terroristes (...), à 600 mètres de la frontière» entre Gaza et Israël, a-t-il expliqué lors d’un point de presse télévisé.
«Vers 16 heures, une roquette RPG aurait été tirée par des terroristes sur un char qui assurait la sécurité de la force», a-t-il poursuivi. «Au même moment, une explosion a soufflé les deux bâtiments, qui se sont effondrés en un instant, alors que la majeure partie de la force était encore à l’intérieur ou à proximité.»
Les bâtiments avaient été lourdement minés en vue de leur destruction. La raison pour laquelle ils ont explosé plus tôt que prévu n’avait pas été déterminée mardi.
L’armée a publié, en début de journée, l’identité des réservistes, les uns après les autres, sur son site Internet. «Nous avons travaillé pour localiser les victimes jusqu’aux dernières heures», a déclaré l’officier en mentionnant la difficulté des opérations d’extraction des corps, ensevelis sous les décombres.
«La guerre a un prix lourd, voire très lourd. Nos réservistes ont sacrifié ce qui leur était le plus cher pour que nous puissions tous vivre ici en toute sécurité.»
Maria Chami, avec AFP
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