©(Sam HARIRI, AFP)
Au moins huit combattants affiliés à Daech ont été tués dans le sud de la Syrie, dimanche 28 janvier. En cause, des factions armées locales opposées au groupe jihadiste.
Huit combattants affiliés au groupe jihadiste Daech, dont un dirigeant local, ont été tués dimanche dans la province de Deraa, dans le sud de la Syrie, lors d'affrontements avec des factions locales, a indiqué l'observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).
La situation dans cette province, berceau de la révolte contre le régime de Bachar al-Assad en 2011, reste instable malgré le retour des forces du régime en juillet 2018 à la faveur d'un accord de réconciliation.
L'OSDH a fait état de huit combattants affiliés à l'EI tués dimanche, parmi lesquels «un haut dirigeant, dans des affrontements violents opposant les factions locales à un groupe accusé d'être subordonné à l'EI à Nawa».
Le dirigeant local tué, originaire de la même province, était en charge de «renforcer les liens entre les cellules» du groupe ultra-radical dans le sud du pays, ajoute l'ONG basée au Royaume-Uni et qui dispose d'un vaste réseau de sources en Syrie.
«Huit terroristes de Daech ont été éliminés dans la ville de Nawa, dans la province de Deraa, dont le dirigeant présumé du Hauran», a indiqué de son côté l'agence officielle syrienne Sana.
Les anciens rebelles dans la province de Deraa qui ont accepté un accord parrainé par la Russie, principal allié de Damas, ont pu garder leurs armes légères.
Des attentats, des affrontements armés et des assassinats de loyalistes, d'anciens opposants ou même de civils travaillant pour le gouvernement s'y produisent régulièrement. Le groupe jihadiste y revendique des attaques.
Le 30 novembre 2022, Daech avait confirmé la mort de son chef, tué en octobre dans la province de Deraa, lors d'affrontements avec des combattants locaux.
Avec AFP
Huit combattants affiliés au groupe jihadiste Daech, dont un dirigeant local, ont été tués dimanche dans la province de Deraa, dans le sud de la Syrie, lors d'affrontements avec des factions locales, a indiqué l'observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).
La situation dans cette province, berceau de la révolte contre le régime de Bachar al-Assad en 2011, reste instable malgré le retour des forces du régime en juillet 2018 à la faveur d'un accord de réconciliation.
L'OSDH a fait état de huit combattants affiliés à l'EI tués dimanche, parmi lesquels «un haut dirigeant, dans des affrontements violents opposant les factions locales à un groupe accusé d'être subordonné à l'EI à Nawa».
Le dirigeant local tué, originaire de la même province, était en charge de «renforcer les liens entre les cellules» du groupe ultra-radical dans le sud du pays, ajoute l'ONG basée au Royaume-Uni et qui dispose d'un vaste réseau de sources en Syrie.
«Huit terroristes de Daech ont été éliminés dans la ville de Nawa, dans la province de Deraa, dont le dirigeant présumé du Hauran», a indiqué de son côté l'agence officielle syrienne Sana.
Les anciens rebelles dans la province de Deraa qui ont accepté un accord parrainé par la Russie, principal allié de Damas, ont pu garder leurs armes légères.
Des attentats, des affrontements armés et des assassinats de loyalistes, d'anciens opposants ou même de civils travaillant pour le gouvernement s'y produisent régulièrement. Le groupe jihadiste y revendique des attaques.
Le 30 novembre 2022, Daech avait confirmé la mort de son chef, tué en octobre dans la province de Deraa, lors d'affrontements avec des combattants locaux.
Avec AFP
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