©Ludovic Blas a inscrit les deux buts nantais face à Brest en 8es de finale de Coupe de France. Sebastien Salom-Gomis/AFP
Nantes s'est qualifié pour les quarts de finale de la Coupe de France en disposant de Brest 2-0 grâce à un doublé de Ludovic Blas, vendredi au stade de la Beaujoire.
Alignés quasiment avec leur équipe type, les Nantais ont rapidement imposé leur pressing et leur rythme, poussés par un public encore réduit par les mesures sanitaires mais très réactif.
En face, Michel Der Zakarian avait promis de ne pas faire de cadeau au club où il a passé une quinzaine d'années, comme joueur puis entraîneur, même si Brest n'a jamais brillé en coupe, avec seulement deux quarts de finale à son palmarès (1983 et 2015).
En l'absence de Romain Faivre, touché aux adducteurs selon le club, en discussion en vue d'un transfert à Lyon selon plusieurs médias, Brest a peiné à ressortir les ballons et à trouver ses attaquants, en particulier l'Uruguayen Martin Satriano, tout juste débarqué de l'Inter Milan pour la fin de la saison.
"Il n'y a pas photo, ils ont été plus forts que nous, ils nous ont mangés dans tous les domaines. On n'a pas vu le ballon, on n'a pas gagné un duel, on n'a pas existé du début à la fin", a pesté l'entraîneur brestois après le match.
Nantes a logiquement ouvert la marque: sur un corner brestois, Nicolas Pallois a dégagé en force vers l'avant. A la réception, Blas a filé tromper Gautier Larsonneur d'une frappe croisée (1-0, 25e).
Désigné capitaine de cette campagne de coupe, Blas, idéalement servi par Randal Kolo Muani, a doublé la mise d'une puissante frappe du droit plein axe, avant de courir embrasser l'entraîneur Antoine Kombouaré (2-0, 53e).
"Je suis super fier de ce qu'ont montré les garçons. L'idée était de gagner avec consistance, et c'est ce qu'on a fait. On a été très costauds derrière et on a pu se projeter", a expliqué l'entraîneur kanak.
"Maintenant il faut consolider ça, on sait bien que c'est fragile", a-t-il rappelé.
A son arrivée il y a près d'un an, les Nantais venaient d'être piteusement éliminés par Lens en Coupe de France (4-2), pour leur 16e match d'affilée sans victoire, dirigé à distance par un Raymond Domenech confiné et déjà limogé.
Depuis, les Canaris qui filaient droit vers la relégation ont arraché leur maintien dans l'élite et pointent à la 9e place en Ligue 1, à 3 points d'une place européenne. Et désormais à deux matches du Stade de France.
Source AFP
Alignés quasiment avec leur équipe type, les Nantais ont rapidement imposé leur pressing et leur rythme, poussés par un public encore réduit par les mesures sanitaires mais très réactif.
En face, Michel Der Zakarian avait promis de ne pas faire de cadeau au club où il a passé une quinzaine d'années, comme joueur puis entraîneur, même si Brest n'a jamais brillé en coupe, avec seulement deux quarts de finale à son palmarès (1983 et 2015).
En l'absence de Romain Faivre, touché aux adducteurs selon le club, en discussion en vue d'un transfert à Lyon selon plusieurs médias, Brest a peiné à ressortir les ballons et à trouver ses attaquants, en particulier l'Uruguayen Martin Satriano, tout juste débarqué de l'Inter Milan pour la fin de la saison.
"Il n'y a pas photo, ils ont été plus forts que nous, ils nous ont mangés dans tous les domaines. On n'a pas vu le ballon, on n'a pas gagné un duel, on n'a pas existé du début à la fin", a pesté l'entraîneur brestois après le match.
Nantes a logiquement ouvert la marque: sur un corner brestois, Nicolas Pallois a dégagé en force vers l'avant. A la réception, Blas a filé tromper Gautier Larsonneur d'une frappe croisée (1-0, 25e).
Désigné capitaine de cette campagne de coupe, Blas, idéalement servi par Randal Kolo Muani, a doublé la mise d'une puissante frappe du droit plein axe, avant de courir embrasser l'entraîneur Antoine Kombouaré (2-0, 53e).
"Je suis super fier de ce qu'ont montré les garçons. L'idée était de gagner avec consistance, et c'est ce qu'on a fait. On a été très costauds derrière et on a pu se projeter", a expliqué l'entraîneur kanak.
"Maintenant il faut consolider ça, on sait bien que c'est fragile", a-t-il rappelé.
A son arrivée il y a près d'un an, les Nantais venaient d'être piteusement éliminés par Lens en Coupe de France (4-2), pour leur 16e match d'affilée sans victoire, dirigé à distance par un Raymond Domenech confiné et déjà limogé.
Depuis, les Canaris qui filaient droit vers la relégation ont arraché leur maintien dans l'élite et pointent à la 9e place en Ligue 1, à 3 points d'une place européenne. Et désormais à deux matches du Stade de France.
Source AFP
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