Le Trésor américain a imposé de nouvelles sanctions à l'Iran ce vendredi 2 février. Celles-ci concernent plusieurs entreprises basées en Iran et à Hong-Kong qui auraient fourni les programmes de missiles balistiques et de drones de Téhéran ayant notamment servi dans l'attaque qui a tué trois soldats américains à la frontière syro-jordanienne.
En vertu du décret exécutif 13382, qui vise la prolifération des armes de destruction massive et de leurs vecteurs, l'Office of Foreign Assets Control (OFAC) a sanctionné le principal réseau de fournisseurs de matériaux et de technologies sensibles pour les programmes iraniens de missiles balistiques et de drones. Parmi les équipements touchés figure notamment le drone de la série Shahed, produit par le Shahed Aviation Industries Research Center (SAIRC) d'Iran.
Le Trésor a également déclaré vendredi qu'il avait imposé des sanctions à six responsables du commandement cyberélectronique du Corps des gardiens de la révolution islamique d'Iran pour des activités cybernétiques malveillantes contre des infrastructures critiques aux États-Unis et dans d'autres pays.
L'OFAC a désigné quatre entités qui ont servi d'intermédiaires clandestins pour Hamed Dehghan et Pishtazan Kavosh Gostar Boshra (PKGB), deux personnes désignées par l'OFAC comme soutenant diverses organisations militaires iraniennes.
L'OFAC a également cité une société-écran basée à Hong Kong et impliquée dans la vente de produits iraniens d'une valeur de plusieurs centaines de millions de dollars au profit de la Force Al-Qods extra-territoriale du Corps des gardiens de la Révolution (IRGC-QF).
Matthew Miller, porte-parole du ministère américain des Affaires étrangères, a affirmé vendredi que "les drones de fabrication iranienne sont utilisés pour commettre des actes de terreur, notamment des dizaines d'attaques menées par des milices alignées sur l'Iran contre le personnel américain, qui se sont soldées par la mort de soldats américains", ajoutant que les Houthis "soutenus par l'Iran ont également lancé des attaques contre des navires commerciaux et des équipements navals américains en utilisant des drones et des missiles de fabrication iranienne".
Ces sanctions sont prononcées alors que trois soldats américains ont été tués le 28 janvier, pour la première fois dans le cadre du conflit régional, dans une attaque de drone revendiquée par des groupuscules soutenus par l'Iran.
En vertu du décret exécutif 13382, qui vise la prolifération des armes de destruction massive et de leurs vecteurs, l'Office of Foreign Assets Control (OFAC) a sanctionné le principal réseau de fournisseurs de matériaux et de technologies sensibles pour les programmes iraniens de missiles balistiques et de drones. Parmi les équipements touchés figure notamment le drone de la série Shahed, produit par le Shahed Aviation Industries Research Center (SAIRC) d'Iran.
Le Trésor a également déclaré vendredi qu'il avait imposé des sanctions à six responsables du commandement cyberélectronique du Corps des gardiens de la révolution islamique d'Iran pour des activités cybernétiques malveillantes contre des infrastructures critiques aux États-Unis et dans d'autres pays.
L'OFAC a désigné quatre entités qui ont servi d'intermédiaires clandestins pour Hamed Dehghan et Pishtazan Kavosh Gostar Boshra (PKGB), deux personnes désignées par l'OFAC comme soutenant diverses organisations militaires iraniennes.
L'OFAC a également cité une société-écran basée à Hong Kong et impliquée dans la vente de produits iraniens d'une valeur de plusieurs centaines de millions de dollars au profit de la Force Al-Qods extra-territoriale du Corps des gardiens de la Révolution (IRGC-QF).
Matthew Miller, porte-parole du ministère américain des Affaires étrangères, a affirmé vendredi que "les drones de fabrication iranienne sont utilisés pour commettre des actes de terreur, notamment des dizaines d'attaques menées par des milices alignées sur l'Iran contre le personnel américain, qui se sont soldées par la mort de soldats américains", ajoutant que les Houthis "soutenus par l'Iran ont également lancé des attaques contre des navires commerciaux et des équipements navals américains en utilisant des drones et des missiles de fabrication iranienne".
Ces sanctions sont prononcées alors que trois soldats américains ont été tués le 28 janvier, pour la première fois dans le cadre du conflit régional, dans une attaque de drone revendiquée par des groupuscules soutenus par l'Iran.
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