Le président de l'Association des sociétés importatrices de pétrole, Maroun Chammas, s’est voulu rassurant en indiquant que «l’essence est disponible», en réponse à la crainte des citoyens quant au rationnement de la part des stations d’essence.
Il a toutefois indiqué, dans un entretien accordé à la chaîne locale MTV, que les évènements qui ont lieu en mer Rouge risquaient «d’affecter le Liban où nous pourrions assister à une augmentation des prix du carburant».
«Nous n'avons pas cessé de livrer du carburant et de l'essence à celui qui le demande. Notre action était de faire pression sur le gouvernement et le Parlement pour qu'ils nous fournissent des éclaircissements, et nous avons reçu des assurances suffisantes», a-t-il aussi expliqué.
Rappelons dans ce cadre que, dans un communiqué publié le 30 janvier, les sociétés importatrices de carburant avaient annoncé la suspension de la livraison de leurs produits (essence, diesel, gaz) à partir de mercredi matin, le 31 janvier. Cela en guise de protestation contre l’introduction d’«une amende ou taxe exceptionnelle» imposée aux sociétés importatrices, telle qu’approuvée par le Parlement dans le budget pour l’exercice 2024».
Par ailleurs, M. Chammas a souligné que «les services de sécurité connaissent bien les contrebandiers du secteur pétrolier s'ils veulent les poursuivre et les punir».
Il a toutefois indiqué, dans un entretien accordé à la chaîne locale MTV, que les évènements qui ont lieu en mer Rouge risquaient «d’affecter le Liban où nous pourrions assister à une augmentation des prix du carburant».
«Nous n'avons pas cessé de livrer du carburant et de l'essence à celui qui le demande. Notre action était de faire pression sur le gouvernement et le Parlement pour qu'ils nous fournissent des éclaircissements, et nous avons reçu des assurances suffisantes», a-t-il aussi expliqué.
Rappelons dans ce cadre que, dans un communiqué publié le 30 janvier, les sociétés importatrices de carburant avaient annoncé la suspension de la livraison de leurs produits (essence, diesel, gaz) à partir de mercredi matin, le 31 janvier. Cela en guise de protestation contre l’introduction d’«une amende ou taxe exceptionnelle» imposée aux sociétés importatrices, telle qu’approuvée par le Parlement dans le budget pour l’exercice 2024».
Par ailleurs, M. Chammas a souligné que «les services de sécurité connaissent bien les contrebandiers du secteur pétrolier s'ils veulent les poursuivre et les punir».
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