Téhéran a mis en garde lundi contre toute attaque américaine sur son territoire.
"La République islamique ne va pas hésiter à riposter à toute attaque américaine sur son sol", a déclaré lundi le porte-parole de la diplomatie iranienne, Nasser Kanani, alors que la Maison-Blanche n'a pas exclu la possibilité de frapper directement l'Iran.
"La République islamique n'hésitera pas à utiliser ses capacités pour donner aux agresseurs une réponse qui leur fera regretter leur action", a-t-il averti, lors de sa conférence de presse hebdomadaire.
"D'autres ont déjà vu cette capacité et cette puissance et calculeront cent fois avant toute mauvaise action", a-t-il ajouté.
Il a néanmoins réaffirmé que l'Iran "ne cherche pas à aggraver les tensions et les crises dans la région".
Nasser Kanani répondait aux propos du conseiller à la sécurité nationale de la Maison-Blanche, Jake Sullivan, qui, interrogé sur la chaîne NBC sur le point de savoir si les États-Unis excluaient la possibilité de frapper directement l'Iran, avait déclaré: " Il ne serait pas sage de ma part de parler de ce que nous envisageons et de ce que nous excluons ".
"Si l'Iran décidait de répondre directement aux États-Unis, il recevrait une réponse rapide et énergique de notre part", avait-il ajouté.
Les États-Unis ont mené vendredi, puis de nouveau dans la nuit de dimanche à lundi, une série de frappes contre des forces d'élite iraniennes et des groupes armés pro-iraniens en Syrie et en Irak, en réponse à la mort de trois soldats américains en Jordanie le 28 janvier.
Jake Sullivan, avait déclaré samedi que les États-Unis continueront leurs représailles.
Avec AFP
"La République islamique ne va pas hésiter à riposter à toute attaque américaine sur son sol", a déclaré lundi le porte-parole de la diplomatie iranienne, Nasser Kanani, alors que la Maison-Blanche n'a pas exclu la possibilité de frapper directement l'Iran.
"La République islamique n'hésitera pas à utiliser ses capacités pour donner aux agresseurs une réponse qui leur fera regretter leur action", a-t-il averti, lors de sa conférence de presse hebdomadaire.
"D'autres ont déjà vu cette capacité et cette puissance et calculeront cent fois avant toute mauvaise action", a-t-il ajouté.
Il a néanmoins réaffirmé que l'Iran "ne cherche pas à aggraver les tensions et les crises dans la région".
Nasser Kanani répondait aux propos du conseiller à la sécurité nationale de la Maison-Blanche, Jake Sullivan, qui, interrogé sur la chaîne NBC sur le point de savoir si les États-Unis excluaient la possibilité de frapper directement l'Iran, avait déclaré: " Il ne serait pas sage de ma part de parler de ce que nous envisageons et de ce que nous excluons ".
"Si l'Iran décidait de répondre directement aux États-Unis, il recevrait une réponse rapide et énergique de notre part", avait-il ajouté.
Les États-Unis ont mené vendredi, puis de nouveau dans la nuit de dimanche à lundi, une série de frappes contre des forces d'élite iraniennes et des groupes armés pro-iraniens en Syrie et en Irak, en réponse à la mort de trois soldats américains en Jordanie le 28 janvier.
Jake Sullivan, avait déclaré samedi que les États-Unis continueront leurs représailles.
Avec AFP
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