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- Un président... aouniste?
L'envoyé qatari au Liban, Jassim ben Fahd al-Thani (Abou Fahd), n'a pas réussi à convaincre le chef du Courant patriotique libre (CPL), Gebran Bassil, d'élire à la présidence soit le chef du parti Marada, Sleiman Frangié, soit le commandant en chef de l'armée, le général Joseph Aoun.
L'émissaire a passé plusieurs jours au Liban où il a rencontré MM. Frangié, Bassil et des représentants du tandem Hezbollah-Amal, mais il est revenu sans avoir pu unifier les positions autour d'un candidat à la présidence.
Le CPL a rappelé le profil ou les critères qu'un candidat à la présidence devrait avoir, notamment: bénéficier du soutien des chrétiens, être accepté par les communautés musulmanes et avoir la confiance de la communauté internationale. Il ne doit pas "poignarder" le soi-disant "mouvement de résistance" (dirigé par le Hezbollah), savoir comment maintenir la souveraineté nationale et avoir une vision claire et un plan de redressement économique. Le parti aouniste refuse de soutenir un candidat qui ne répondrait pas à ces critères.
Expliquant l'objectif de sa visite au Liban, l'émissaire qatari a déclaré qu'elle confirmait la mission politique qui lui a été confiée par sa direction. Il a souligné que son initiative se poursuit avec la bénédiction américano-saoudienne et indépendamment des efforts déployés par le groupe des cinq nations, connu sous le nom de Quintet, qui comprend, outre le Qatar, la France, les Etats-Unis, l'Arabie saoudite et l'Egypte.
L'émissaire a passé plusieurs jours au Liban où il a rencontré MM. Frangié, Bassil et des représentants du tandem Hezbollah-Amal, mais il est revenu sans avoir pu unifier les positions autour d'un candidat à la présidence.
Le CPL a rappelé le profil ou les critères qu'un candidat à la présidence devrait avoir, notamment: bénéficier du soutien des chrétiens, être accepté par les communautés musulmanes et avoir la confiance de la communauté internationale. Il ne doit pas "poignarder" le soi-disant "mouvement de résistance" (dirigé par le Hezbollah), savoir comment maintenir la souveraineté nationale et avoir une vision claire et un plan de redressement économique. Le parti aouniste refuse de soutenir un candidat qui ne répondrait pas à ces critères.
Expliquant l'objectif de sa visite au Liban, l'émissaire qatari a déclaré qu'elle confirmait la mission politique qui lui a été confiée par sa direction. Il a souligné que son initiative se poursuit avec la bénédiction américano-saoudienne et indépendamment des efforts déployés par le groupe des cinq nations, connu sous le nom de Quintet, qui comprend, outre le Qatar, la France, les Etats-Unis, l'Arabie saoudite et l'Egypte.
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