Le bloc du Renouveau a réclamé que les coupables de l’assassinat de l’ancien Premier ministre, Rafic Hariri, soient remis à la justice internationale «afin de mettre fin à l’impunité et à la poursuite des assassinats». Cette réclamation intervient alors que le Liban s’apprête à célébrer le 19ᵉ anniversaire de l’assassinat de Rafic Hariri le 14 février.
Dans un communiqué publié lundi, le bloc a aussi condamné l’ingérence du ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir Abdollahian, ainsi que ses propos qui «témoignent de l’approche de l’Iran consistant à utiliser le Liban en tant qu’outil pour renforcer son influence». Le bloc a attiré l’attention du ministre iranien sur le fait que la sécurité du Liban ne dépend pas de la sécurité de l’Iran comme il l’a prétendu à Beyrouth.
Le bloc a aussi condamné le chaos au Parlement lors des séances de vote du budget ,où de nombreux éléments clés du budget n’ont pas été votés de manière transparente et publiés de manière contraire à l’intégrité et à la précision des textes. Le Renouveau a justifié sa participation à la séance parlementaire pour le vote du budget «afin qu’il ne soit pas promulgué par décret, car il était rempli de pratiques inacceptables». Cependant, les corrections n’ont pas été faites et le bloc étudie la possibilité de contester le budget devant le Conseil constitutionnel, en collaboration avec d’autres parties de l’opposition.
Dans un communiqué publié lundi, le bloc a aussi condamné l’ingérence du ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir Abdollahian, ainsi que ses propos qui «témoignent de l’approche de l’Iran consistant à utiliser le Liban en tant qu’outil pour renforcer son influence». Le bloc a attiré l’attention du ministre iranien sur le fait que la sécurité du Liban ne dépend pas de la sécurité de l’Iran comme il l’a prétendu à Beyrouth.
Le bloc a aussi condamné le chaos au Parlement lors des séances de vote du budget ,où de nombreux éléments clés du budget n’ont pas été votés de manière transparente et publiés de manière contraire à l’intégrité et à la précision des textes. Le Renouveau a justifié sa participation à la séance parlementaire pour le vote du budget «afin qu’il ne soit pas promulgué par décret, car il était rempli de pratiques inacceptables». Cependant, les corrections n’ont pas été faites et le bloc étudie la possibilité de contester le budget devant le Conseil constitutionnel, en collaboration avec d’autres parties de l’opposition.
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