L’ancien Premier ministre Saad Hariri a reçu une invitation à se rendre à Moscou des mains de Mikhaïl Bogdanov, vice-ministre des Affaires étrangères chargé du Moyen-Orient et de l’Afrique, lors d'«une récente rencontre» entre les deux hommes.
C’est ce qu’a annoncé, lundi soir, Georges Chaaban, le conseiller pour les affaires russes de M. Hariri, lors d’une intervention accordée au média russe Sputnik. Quant à la date de cette visite, «elle sera déterminée en temps voulu», a-t-il aussi indiqué.
«Nous sommes en communication constante avec les dirigeants russes, et en consultation régulière sur la situation dans la région», a également souligné M. Chaaban, assurant que les contacts entre les deux bords «n'ont pas été interrompus depuis le retrait de M. Hariri» de la vie politique.
Interrogé sur un éventuel lien entre la visite de l’ancien Premier ministre et celles d'hommes politiques libanais à Moscou dans le cadre d'une initiative russe visant à rapprocher les points de vue des forces politiques libanaises, le conseiller de M. Hariri a aussi déclaré: «La Russie œuvre toujours pour la stabilité, la souveraineté et l'indépendance du Liban. Elle est en contact avec toutes les parties au Liban et tient à ce que la guerre dans la région, ne s'étende pas, en particulier au Liban et en Syrie».
Et M. Chaaban de conclure que la Russie «fournit d'importants efforts dans ce sens, et qu'elle tient toujours à ce qu'un président de la République soit élu sans tarder, par le biais d'une consultation entre les Libanais et d'un dialogue entre eux sur les questions de base».
Parmi les dirigeants libanais à s’être rendus récemment à Moscou, l’ancien chef du Parti socialiste progressiste, Walid Joumblatt, qui a rencontré, vendredi 9 février, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, et son adjoint chargé du Moyen-Orient et de l’Afrique, Mikhaïl Bogdanov. Les discussions ont porté sur la situation régionale et internationale, notamment la crise au Moyen-Orient.
M. Lavrov avait souligné dans un communiqué publié à l’issue de cette rencontre «le refus de toute escalade supplémentaire dans le conflit israélo-palestinien, ainsi que l’implication d’autres pays de la région, en particulier le Liban».
C’est ce qu’a annoncé, lundi soir, Georges Chaaban, le conseiller pour les affaires russes de M. Hariri, lors d’une intervention accordée au média russe Sputnik. Quant à la date de cette visite, «elle sera déterminée en temps voulu», a-t-il aussi indiqué.
«Nous sommes en communication constante avec les dirigeants russes, et en consultation régulière sur la situation dans la région», a également souligné M. Chaaban, assurant que les contacts entre les deux bords «n'ont pas été interrompus depuis le retrait de M. Hariri» de la vie politique.
Interrogé sur un éventuel lien entre la visite de l’ancien Premier ministre et celles d'hommes politiques libanais à Moscou dans le cadre d'une initiative russe visant à rapprocher les points de vue des forces politiques libanaises, le conseiller de M. Hariri a aussi déclaré: «La Russie œuvre toujours pour la stabilité, la souveraineté et l'indépendance du Liban. Elle est en contact avec toutes les parties au Liban et tient à ce que la guerre dans la région, ne s'étende pas, en particulier au Liban et en Syrie».
Et M. Chaaban de conclure que la Russie «fournit d'importants efforts dans ce sens, et qu'elle tient toujours à ce qu'un président de la République soit élu sans tarder, par le biais d'une consultation entre les Libanais et d'un dialogue entre eux sur les questions de base».
Parmi les dirigeants libanais à s’être rendus récemment à Moscou, l’ancien chef du Parti socialiste progressiste, Walid Joumblatt, qui a rencontré, vendredi 9 février, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, et son adjoint chargé du Moyen-Orient et de l’Afrique, Mikhaïl Bogdanov. Les discussions ont porté sur la situation régionale et internationale, notamment la crise au Moyen-Orient.
M. Lavrov avait souligné dans un communiqué publié à l’issue de cette rencontre «le refus de toute escalade supplémentaire dans le conflit israélo-palestinien, ainsi que l’implication d’autres pays de la région, en particulier le Liban».
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