Le chef du Mouvement de l’indépendance et membre du bloc du Renouveau, Michel Moawad, a souligné, vendredi, «la priorité d'éviter un glissement vers une guerre totale au Liban à travers la mise en œuvre effective de la résolution 1701 des deux côtés de la frontière» libano-israélienne.
Lors d’une visite entreprise par l’ambassadrice US, Lisa Johnson, à Baabda, M. Moawad a indiqué que cette démarche impliquerait «le déploiement exclusif de l’armée libanaise et des forces de la Finul au sud du fleuve Litani, en préparation à la délimitation de la frontière et à l’application des résolutions onusiennes 1559 et 1680».
Cela permettrait de «rétablir la souveraineté de l’État sur tout le territoire libanais et de jeter les bases d'une stabilité durable le long de la frontière sud», a-t-il avancé. Il a insisté sur «l’impératif de contraindre Israël à appliquer la résolution 1701» du Conseil de sécurité.
Selon M. Moawad, la protection du Liban réside également dans la restauration des institutions de l'État, par le biais de l'élection d'un président de la République. Il a, à cet égard, salué les efforts du Quintette (France, États-Unis, Arabie saoudite, Égypte et Qatar) qui œuvre pour la résolution du dossier de la présidentielle au Liban.
Dans ce cadre, le député souverainiste a affirmé que «la solution consiste à faire pression pour que la Constitution soit appliquée et qu'il soit mis un terme à l'approche obstructionniste». Il a donc plaidé pour «la tenue d’une séance électorale ouverte à tours successifs, jusqu’à l'élection d'un président».
Par ailleurs, il a appelé à «intensifier les pressions américaines et internationales» pour mettre fin à la guerre de Gaza, et à «reprendre la voie des négociations pour une solution à deux États, qui est la clé d'une paix juste et globale dans la région».
Lors d’une visite entreprise par l’ambassadrice US, Lisa Johnson, à Baabda, M. Moawad a indiqué que cette démarche impliquerait «le déploiement exclusif de l’armée libanaise et des forces de la Finul au sud du fleuve Litani, en préparation à la délimitation de la frontière et à l’application des résolutions onusiennes 1559 et 1680».
Cela permettrait de «rétablir la souveraineté de l’État sur tout le territoire libanais et de jeter les bases d'une stabilité durable le long de la frontière sud», a-t-il avancé. Il a insisté sur «l’impératif de contraindre Israël à appliquer la résolution 1701» du Conseil de sécurité.
Selon M. Moawad, la protection du Liban réside également dans la restauration des institutions de l'État, par le biais de l'élection d'un président de la République. Il a, à cet égard, salué les efforts du Quintette (France, États-Unis, Arabie saoudite, Égypte et Qatar) qui œuvre pour la résolution du dossier de la présidentielle au Liban.
Dans ce cadre, le député souverainiste a affirmé que «la solution consiste à faire pression pour que la Constitution soit appliquée et qu'il soit mis un terme à l'approche obstructionniste». Il a donc plaidé pour «la tenue d’une séance électorale ouverte à tours successifs, jusqu’à l'élection d'un président».
Par ailleurs, il a appelé à «intensifier les pressions américaines et internationales» pour mettre fin à la guerre de Gaza, et à «reprendre la voie des négociations pour une solution à deux États, qui est la clé d'une paix juste et globale dans la région».
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