Les organismes économiques, présidés par l'ancien ministre Mohammad Choucair, ont tenu une réunion de travail avec l'ambassadeur de France au Liban, Hervé Magro. Ils ont discuté en profondeur de la situation économique, financière et sociale du Liban, ainsi que des exigences de la reprise, évoquant notamment le rôle fondamental que la France peut jouer dans ce cadre.
Prenant la parole, M. Choucair a assuré que l’important est «de renforcer les relations économiques entre le Liban et la France à différents niveaux, notamment en augmentant les échanges commerciaux et en encourageant les investissements, sachant que les organismes sont les premiers soutiens de ces relations historiques et les premiers fans des investissements français au Liban dans les domaines de l'énergie, de l'électricité, des transports, etc.».
M. Choucair a souligné que la première préoccupation des organismes économiques est «de préserver l'identité du Liban».
Dans ce contexte, il considère qu’il est important de se concentrer sur les facteurs fondamentaux dans lesquels la France peut jouer un rôle clé, dont les plus prioritaires sont peut-être:
– la consolidation de la culture francophone. Dans ce cadre, la France doit jouer un rôle actif dans le domaine de l'éducation, car elle constitue un pilier fondamental de l'identité du Liban et de son rôle dans la région.
– la création de programmes pour soutenir les petites et moyennes entreprises, activer l'innovation et la créativité et préserver la jeunesse libanaise dans sa patrie.
M. Choucair a par ailleurs assuré qu’il est nécessaire de trouver des solutions au volet social auquel «nous accordons une attention particulière. Tant pour les réseaux de sécurité sociale que pour la recherche de solutions en matière d'indemnisation de fin de service des ouvriers et employés; en effet, celle-ci est érodée et n’a plus aucune valeur ».
M. Choucair a relevé que les efforts menés par la France pour éloigner du Liban le spectre de la guerre en cours à Gaza sont grandement appréciés. Il n’en demeure pas moins que le Liban ne peut absolument pas supporter une guerre, dont le coût serait élevé à tous les niveaux, en particulier celui de l’économie nationale, qui est déjà en train de s’effondrer.
Il a souligné que la clé des solutions au Liban à tous les niveaux réside dans la stabilisation de la situation politique par l'élection d'un président et la formation d'un nouveau gouvernement chargé de mettre en œuvre les réformes globales nécessaires.
Pour sa part, l'ambassadeur de France a remercié les organismes économiques, soulignant l'importance de la rencontre entre les deux parties. Celles-ci ont ainsi pu échanger des idées et des informations sur la situation économique au Liban et les solutions souhaitées. Il a par ailleurs assuré que pour le président français, Emmanuel Macron, le Liban reste une priorité.
Il a souligné que pour la France, la priorité est désormais d'éloigner du Liban le spectre de la guerre en cours à Gaza, ainsi que d'établir une feuille de route pour élire un président de la République.
Il a évoqué la situation économique du Liban, énumérant les difficultés que connaît le pays, notamment l'économie illégale, la contrebande, les manques au niveau de l'environnement et aux conditions favorables aux affaires, l'incapacité de mettre en œuvre des réformes et le trafic de drogue et de Captagon.
Il a apprécié le rôle important joué par le secteur privé et les expatriés libanais dans l'économie libanaise et l'activité des entreprises libanaises, rappelant la nécessité de réformes radicales du budget de l'État et de ses administrations. À ce sujet, il a souligné la nécessité d'assurer un environnement économique qui permette à l’économie de continuer à vivre. «La question des réformes est donc pour moi nécessaire et cela ne peut pas continuer ainsi», a-t-il déclaré. Il a ajouté: «Après avoir mené à bien les réformes nécessaires qui semblent compliquées, il faut un système bancaire capable de remplir pleinement son rôle dans l'économie».
Il a également souligné son intérêt pour les petites et moyennes entreprises et fait part de sa réflexion sur la manière de travailler pour les aider face aux problèmes économiques majeurs et à l'absence du système bancaire.
Il a exprimé son désir de coopérer avec les organismes économiques et de poursuivre la communication pour échanger des idées et des suggestions susceptibles de faire progresser l'économie libanaise, de soutenir les secteurs efficaces et d'élever le niveau des services de base au Liban, notamment dans les domaines de l'énergie, de l'électricité et de la technologie.
Prenant la parole, M. Choucair a assuré que l’important est «de renforcer les relations économiques entre le Liban et la France à différents niveaux, notamment en augmentant les échanges commerciaux et en encourageant les investissements, sachant que les organismes sont les premiers soutiens de ces relations historiques et les premiers fans des investissements français au Liban dans les domaines de l'énergie, de l'électricité, des transports, etc.».
M. Choucair a souligné que la première préoccupation des organismes économiques est «de préserver l'identité du Liban».
Dans ce contexte, il considère qu’il est important de se concentrer sur les facteurs fondamentaux dans lesquels la France peut jouer un rôle clé, dont les plus prioritaires sont peut-être:
– la consolidation de la culture francophone. Dans ce cadre, la France doit jouer un rôle actif dans le domaine de l'éducation, car elle constitue un pilier fondamental de l'identité du Liban et de son rôle dans la région.
– la création de programmes pour soutenir les petites et moyennes entreprises, activer l'innovation et la créativité et préserver la jeunesse libanaise dans sa patrie.
M. Choucair a par ailleurs assuré qu’il est nécessaire de trouver des solutions au volet social auquel «nous accordons une attention particulière. Tant pour les réseaux de sécurité sociale que pour la recherche de solutions en matière d'indemnisation de fin de service des ouvriers et employés; en effet, celle-ci est érodée et n’a plus aucune valeur ».
M. Choucair a relevé que les efforts menés par la France pour éloigner du Liban le spectre de la guerre en cours à Gaza sont grandement appréciés. Il n’en demeure pas moins que le Liban ne peut absolument pas supporter une guerre, dont le coût serait élevé à tous les niveaux, en particulier celui de l’économie nationale, qui est déjà en train de s’effondrer.
Il a souligné que la clé des solutions au Liban à tous les niveaux réside dans la stabilisation de la situation politique par l'élection d'un président et la formation d'un nouveau gouvernement chargé de mettre en œuvre les réformes globales nécessaires.
Pour sa part, l'ambassadeur de France a remercié les organismes économiques, soulignant l'importance de la rencontre entre les deux parties. Celles-ci ont ainsi pu échanger des idées et des informations sur la situation économique au Liban et les solutions souhaitées. Il a par ailleurs assuré que pour le président français, Emmanuel Macron, le Liban reste une priorité.
Il a souligné que pour la France, la priorité est désormais d'éloigner du Liban le spectre de la guerre en cours à Gaza, ainsi que d'établir une feuille de route pour élire un président de la République.
Il a évoqué la situation économique du Liban, énumérant les difficultés que connaît le pays, notamment l'économie illégale, la contrebande, les manques au niveau de l'environnement et aux conditions favorables aux affaires, l'incapacité de mettre en œuvre des réformes et le trafic de drogue et de Captagon.
Il a apprécié le rôle important joué par le secteur privé et les expatriés libanais dans l'économie libanaise et l'activité des entreprises libanaises, rappelant la nécessité de réformes radicales du budget de l'État et de ses administrations. À ce sujet, il a souligné la nécessité d'assurer un environnement économique qui permette à l’économie de continuer à vivre. «La question des réformes est donc pour moi nécessaire et cela ne peut pas continuer ainsi», a-t-il déclaré. Il a ajouté: «Après avoir mené à bien les réformes nécessaires qui semblent compliquées, il faut un système bancaire capable de remplir pleinement son rôle dans l'économie».
Il a également souligné son intérêt pour les petites et moyennes entreprises et fait part de sa réflexion sur la manière de travailler pour les aider face aux problèmes économiques majeurs et à l'absence du système bancaire.
Il a exprimé son désir de coopérer avec les organismes économiques et de poursuivre la communication pour échanger des idées et des suggestions susceptibles de faire progresser l'économie libanaise, de soutenir les secteurs efficaces et d'élever le niveau des services de base au Liban, notamment dans les domaines de l'énergie, de l'électricité et de la technologie.
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