Soupçonnés de trafic d’êtres humains, deux Libanais, âgés de 19 et 21 ans, ont été mis en garde à vue, hier (samedi), par un tribunal chypriote pour une durée de six jours.
Les deux hommes ont été identifiés comme étant «les capitaines de deux bateaux qui ont transporté 146 réfugiés syriens et un migrant libanais vers Chypre», a indiqué la police chypriote. L’une des deux embarcations avait transporté 30 personnes, dont six femmes et 11 mineurs, alors que 117 personnes, dont huit femmes et 17 mineurs, se trouvaient à bord de la seconde. Les passagers avaient tous été interpellés.
Toujours de source policière chypriote, on apprend que «les réfugiés ont déclaré, lors de leurs interrogatoires, qu’ils avaient quitté la ville libanaise de Tripoli, jeudi 22 février et qu’ils avaient payé 2.500 dollars par personne pour avoir une place sur les bateaux».
Dans les faits, «la police a repéré les deux embarcations samedi après-midi au large du cap Greco, à la pointe sud-est de l’île et tous les migrants ont été escortés jusqu’au rivage, puis transférés dans un centre d’accueil pour migrants situé en dehors de la capitale, Nicosie».
Les deux hommes ont été identifiés comme étant «les capitaines de deux bateaux qui ont transporté 146 réfugiés syriens et un migrant libanais vers Chypre», a indiqué la police chypriote. L’une des deux embarcations avait transporté 30 personnes, dont six femmes et 11 mineurs, alors que 117 personnes, dont huit femmes et 17 mineurs, se trouvaient à bord de la seconde. Les passagers avaient tous été interpellés.
Toujours de source policière chypriote, on apprend que «les réfugiés ont déclaré, lors de leurs interrogatoires, qu’ils avaient quitté la ville libanaise de Tripoli, jeudi 22 février et qu’ils avaient payé 2.500 dollars par personne pour avoir une place sur les bateaux».
Dans les faits, «la police a repéré les deux embarcations samedi après-midi au large du cap Greco, à la pointe sud-est de l’île et tous les migrants ont été escortés jusqu’au rivage, puis transférés dans un centre d’accueil pour migrants situé en dehors de la capitale, Nicosie».
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