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- Saydet el-Jabal: C'est au Hezbollah d'assumer les conséquences de la guerre qu'il mène
Pour le Rassemblement de Saydet el-Jabal, c’est au Hezbollah d’«assumer les conséquences de sa décision unilatérale de faire la guerre» à Israël, surtout que celui-ci a «élargi le champ de ses attaques au Liban et que ses responsables ont intensifié leurs menaces à l’égard du Liban qu’ils veulent pousser à appliquer par la force les résolutions internationales», notamment la 1701 du Conseil de sécurité de l’ONU.
Durant sa réunion hebdomadaire, lundi, le Rassemblement de Saydet el-Jabal a aussi réitéré son opposition à «toute tentative de lier le sort du Liban à celui de la guerre à Gaza», exhortant l’autorité politique à «limiter les pertes humaines et matérielles au Liban-Sud et à faire en sorte que les souffrances de la population cessent».
Pour lui, «c’est ce qui doit aussi constituer une priorité pour le Hezbollah». À ce propos, Saydet el-Jabal a considéré que les hostilités à la frontière sud «n’ont pas empêché Israël de commettre ses crimes à Gaza» comme cela est sans cesse martelé par le secrétaire général de la formation pro-iranienne, Hassan Nasrallah, pour tenter de justifier son entrée en guerre contre Israël le 8 octobre.
Par ailleurs, le Rassemblement a rejeté les protestations syriennes contre les tours de contrôle frontalier, 12 ans après leur construction. Il a rappelé «la résolution 1680 du Conseil de sécurité qui prévoit la démarcation de la frontière avec la Syrie, ainsi que les 1559 et 1701 qui stipulent notamment l'arrêt de la contrebande d'armes de la Syrie vers le Liban au profit du Hezbollah et de ses partenaires».
«Nous ne permettrons pas à la Syrie, qui a quitté le Liban en 2005 et qui n'y reviendra pas, à un régime qui a tué les peuples libanais et syrien, d’agir comme si le Liban faisait partie de son territoire», a poursuivi le Rassemblement, qui a appelé les autorités libanaises à «œuvrer rapidement pour une démarcation des frontières orientale et septentrionale».
Saydet el-Jabal a enfin appelé «le gouvernement à traiter pour une fois de manière responsable les crises qui frappent le pays», lui reprochant d’avoir cédé au Hezbollah ses responsabilités au niveau du maintien de la sécurité.
Durant sa réunion hebdomadaire, lundi, le Rassemblement de Saydet el-Jabal a aussi réitéré son opposition à «toute tentative de lier le sort du Liban à celui de la guerre à Gaza», exhortant l’autorité politique à «limiter les pertes humaines et matérielles au Liban-Sud et à faire en sorte que les souffrances de la population cessent».
Pour lui, «c’est ce qui doit aussi constituer une priorité pour le Hezbollah». À ce propos, Saydet el-Jabal a considéré que les hostilités à la frontière sud «n’ont pas empêché Israël de commettre ses crimes à Gaza» comme cela est sans cesse martelé par le secrétaire général de la formation pro-iranienne, Hassan Nasrallah, pour tenter de justifier son entrée en guerre contre Israël le 8 octobre.
Par ailleurs, le Rassemblement a rejeté les protestations syriennes contre les tours de contrôle frontalier, 12 ans après leur construction. Il a rappelé «la résolution 1680 du Conseil de sécurité qui prévoit la démarcation de la frontière avec la Syrie, ainsi que les 1559 et 1701 qui stipulent notamment l'arrêt de la contrebande d'armes de la Syrie vers le Liban au profit du Hezbollah et de ses partenaires».
«Nous ne permettrons pas à la Syrie, qui a quitté le Liban en 2005 et qui n'y reviendra pas, à un régime qui a tué les peuples libanais et syrien, d’agir comme si le Liban faisait partie de son territoire», a poursuivi le Rassemblement, qui a appelé les autorités libanaises à «œuvrer rapidement pour une démarcation des frontières orientale et septentrionale».
Saydet el-Jabal a enfin appelé «le gouvernement à traiter pour une fois de manière responsable les crises qui frappent le pays», lui reprochant d’avoir cédé au Hezbollah ses responsabilités au niveau du maintien de la sécurité.
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