©(Fabrice COFFRINI, AFP)
Le ministre palestinien des Affaires étrangères, Riyad al-Maliki, a souligné que le Hamas devrait être exclu du nouveau gouvernement palestinien, privilégiant un Cabinet "technocratique" pour renforcer les liens avec la communauté internationale après la démission du gouvernement actuel.
Le ministre des Affaires étrangères palestinien, Riyad al-Maliki, a déclaré mercredi qu'il croyait que le Hamas comprenait pourquoi il ne devrait pas faire partie d'un nouveau gouvernement dans les territoires palestiniens.
Maliki a déclaré lors d'une conférence de presse qu'un gouvernement "technocratique" était nécessaire, sans le groupe islamiste qui mène une guerre amère contre Israël.
"Le moment n'est pas propice à un gouvernement de coalition nationale", a déclaré Maliki.
"Le moment n'est pas venu pour pour la formation d'un gouvernement incluant le Hamas, car dans ce cas, il sera boycotté par plusieurs pays, comme cela s'est déjà produit", a-t-il déclaré à l'association des correspondants de l'ONU.
"Nous ne voulons pas nous retrouver dans une telle situation. Nous voulons être acceptés et collaborer pleinement avec la communauté internationale", a-t-il expliqué.
Le Premier ministre palestinien, Mohammad Chtayyeh, a annoncé lundi la démission de son gouvernement.
Un décret du président palestinien, Mahmoud Abbas, a déclaré que le gouvernement resterait en place à titre intérimaire jusqu'à la formation d'un nouveau.
"Plus tard, lorsque la situation le permettra, nous pourrions envisager cette option. Mais le plus important, c'est de savoir comment sauver la situation; comment sauver les vies innocentes des Palestiniens; comment mettre fin à cette guerre insensée et comment pouvoir protéger le peuple palestinien", a-t-il déclaré.
"C'est pourquoi j'estime que le Hamas devrait prendre en compte cette réalité. Je suis convaincu qu'ils appuient l'idée de former aujourd'hui un gouvernement technocratique."
"Un gouvernement constitué d'experts, de personnes totalement investies dans la prise en charge et la responsabilité durant cette période – une période difficile – et déterminées à guider le pays à travers une transition vers une situation stable où, ultimement, des élections pourraient être envisagées."
"Et après les élections, les résultats détermineront le type de gouvernement qui dirigera l'État de Palestine par la suite."
Maliki est à Genève pour participer au Conseil des droits de l'homme des Nations unies.
Avec l'AFP
Le ministre des Affaires étrangères palestinien, Riyad al-Maliki, a déclaré mercredi qu'il croyait que le Hamas comprenait pourquoi il ne devrait pas faire partie d'un nouveau gouvernement dans les territoires palestiniens.
Maliki a déclaré lors d'une conférence de presse qu'un gouvernement "technocratique" était nécessaire, sans le groupe islamiste qui mène une guerre amère contre Israël.
"Le moment n'est pas propice à un gouvernement de coalition nationale", a déclaré Maliki.
"Le moment n'est pas venu pour pour la formation d'un gouvernement incluant le Hamas, car dans ce cas, il sera boycotté par plusieurs pays, comme cela s'est déjà produit", a-t-il déclaré à l'association des correspondants de l'ONU.
"Nous ne voulons pas nous retrouver dans une telle situation. Nous voulons être acceptés et collaborer pleinement avec la communauté internationale", a-t-il expliqué.
Le Premier ministre palestinien, Mohammad Chtayyeh, a annoncé lundi la démission de son gouvernement.
Un décret du président palestinien, Mahmoud Abbas, a déclaré que le gouvernement resterait en place à titre intérimaire jusqu'à la formation d'un nouveau.
"Plus tard, lorsque la situation le permettra, nous pourrions envisager cette option. Mais le plus important, c'est de savoir comment sauver la situation; comment sauver les vies innocentes des Palestiniens; comment mettre fin à cette guerre insensée et comment pouvoir protéger le peuple palestinien", a-t-il déclaré.
"C'est pourquoi j'estime que le Hamas devrait prendre en compte cette réalité. Je suis convaincu qu'ils appuient l'idée de former aujourd'hui un gouvernement technocratique."
"Un gouvernement constitué d'experts, de personnes totalement investies dans la prise en charge et la responsabilité durant cette période – une période difficile – et déterminées à guider le pays à travers une transition vers une situation stable où, ultimement, des élections pourraient être envisagées."
"Et après les élections, les résultats détermineront le type de gouvernement qui dirigera l'État de Palestine par la suite."
Maliki est à Genève pour participer au Conseil des droits de l'homme des Nations unies.
Avec l'AFP
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