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- CPL-Hezbollah: vers un divorce définitif?
«Le tambourin s’est brisé et les amants se sont séparés.» C’est en empruntant ce proverbe arabe qu’un responsable aouniste a résumé les relations entre le Courant patriotique libre (CPL) et le Hezbollah.
D’après la même source, la réunion tenue à Rabieh le 7 mars dernier entre l’ancien président Michel Aoun et une délégation du Hezbollah «était mauvaise, contrairement à ce que la délégation avait déclaré et ce que les médias affiliés au Hezb avaient rapporté».
M. Aoun aurait «réitéré ses positions vis-à-vis de la formation pro-iranienne, exprimant des critiques qu'il avait déjà diffusées dans les médias», notamment concernant le front de soutien à Gaza, ouvert par le Hezbollah au Liban-Sud, affirme-t-on de même source.
Selon l’ancien président, «aucune décision de guerre ne peut être prise sans le consentement de toutes les forces politiques, car il n'est pas permis à un groupe de déclarer la guerre de son côté sans consulter les autres parties». Dans cette perspective, «le Liban serait contraint de participer à la guerre, uniquement si cette décision était émise par la Ligue arabe».
Dans le même sens, de sources informées proches du CPL, on a avancé que la réunion précitée n'a pas contribué à améliorer les relations, mais a plutôt conduit à davantage de tensions et d'éloignement entre les deux camps. Les positions du chef du CPL, Gebran Bassil, auraient reflété un climat de tension, selon les mêmes sources.
Il convient de rappeler que les rapports entre les deux formations se sont tendues dernièrement, en raison de critiques formulées par MM. Aoun et Bassil au sujet de la décision du Hezbollah d’ouvrir le front du Liban-Sud pour soutenir le Hamas dans sa guerre contre Israël à Gaza. En outre, les deux parties ont des positions divergentes concernant la présidence de la République, le CPL refusant de soutenir le candidat de la formation pro-iranienne, Sleiman Frangié.
Il convient de rappeler que l’ancien chef de l’État a déclaré à l’ambassadrice des États-Unis au Liban, Lisa Johnson, que le Hezbollah n’était plus son allié. Cet aveu a été prononcé la veille du déplacement effectué par la délégation du Hezb à Rabieh.
D’après la même source, la réunion tenue à Rabieh le 7 mars dernier entre l’ancien président Michel Aoun et une délégation du Hezbollah «était mauvaise, contrairement à ce que la délégation avait déclaré et ce que les médias affiliés au Hezb avaient rapporté».
M. Aoun aurait «réitéré ses positions vis-à-vis de la formation pro-iranienne, exprimant des critiques qu'il avait déjà diffusées dans les médias», notamment concernant le front de soutien à Gaza, ouvert par le Hezbollah au Liban-Sud, affirme-t-on de même source.
Selon l’ancien président, «aucune décision de guerre ne peut être prise sans le consentement de toutes les forces politiques, car il n'est pas permis à un groupe de déclarer la guerre de son côté sans consulter les autres parties». Dans cette perspective, «le Liban serait contraint de participer à la guerre, uniquement si cette décision était émise par la Ligue arabe».
Dans le même sens, de sources informées proches du CPL, on a avancé que la réunion précitée n'a pas contribué à améliorer les relations, mais a plutôt conduit à davantage de tensions et d'éloignement entre les deux camps. Les positions du chef du CPL, Gebran Bassil, auraient reflété un climat de tension, selon les mêmes sources.
Il convient de rappeler que les rapports entre les deux formations se sont tendues dernièrement, en raison de critiques formulées par MM. Aoun et Bassil au sujet de la décision du Hezbollah d’ouvrir le front du Liban-Sud pour soutenir le Hamas dans sa guerre contre Israël à Gaza. En outre, les deux parties ont des positions divergentes concernant la présidence de la République, le CPL refusant de soutenir le candidat de la formation pro-iranienne, Sleiman Frangié.
Il convient de rappeler que l’ancien chef de l’État a déclaré à l’ambassadrice des États-Unis au Liban, Lisa Johnson, que le Hezbollah n’était plus son allié. Cet aveu a été prononcé la veille du déplacement effectué par la délégation du Hezb à Rabieh.
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