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- Nouvelles menaces de Khamenei envers Israël
©(AFP)
Le guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, a réitéré, mercredi, ses menaces envers Israël, affirmant que ce pays serait «puni» après une attaque meurtrière lui ayant été imputée la semaine dernière en Syrie.
Une frappe menée le 1er avril sur le consulat iranien à Damas a fait 16 morts, dont sept membres du corps des Gardiens de la révolution, l’armée idéologique de la République islamique, selon une ONG.
L’Iran et la Syrie ont imputé l’attaque à Israël qui n’a pas confirmé son implication.
«Le régime maléfique a fait une erreur (...) il doit être puni et il sera puni», a déclaré l’ayatollah Khamenei dans un discours retransmis en direct à l’occasion de la Fête du Fitr, la fête marquant la fin du mois de jeûne musulman du Ramadan.
L’Iran avait déjà promis de riposter à cette frappe qui a encore exacerbé les tensions régionales sur fond de guerre dans la bande de Gaza entre Israël et le mouvement palestinien Hamas, soutenu par l’Iran.
Fervent allié du président Bachar el-Assad, Téhéran dispose de «conseillers militaires» en Syrie, où une guerre a éclaté en 2011.
Israël, qui affirme qu’il ne permettra pas à l’Iran de s’implanter à sa frontière, a mené des centaines de frappes en Syrie voisine contre des positions du pouvoir syrien, des groupes pro-iraniens et des cibles militaires iraniennes.
Avec AFP
Une frappe menée le 1er avril sur le consulat iranien à Damas a fait 16 morts, dont sept membres du corps des Gardiens de la révolution, l’armée idéologique de la République islamique, selon une ONG.
L’Iran et la Syrie ont imputé l’attaque à Israël qui n’a pas confirmé son implication.
«Le régime maléfique a fait une erreur (...) il doit être puni et il sera puni», a déclaré l’ayatollah Khamenei dans un discours retransmis en direct à l’occasion de la Fête du Fitr, la fête marquant la fin du mois de jeûne musulman du Ramadan.
L’Iran avait déjà promis de riposter à cette frappe qui a encore exacerbé les tensions régionales sur fond de guerre dans la bande de Gaza entre Israël et le mouvement palestinien Hamas, soutenu par l’Iran.
Fervent allié du président Bachar el-Assad, Téhéran dispose de «conseillers militaires» en Syrie, où une guerre a éclaté en 2011.
Israël, qui affirme qu’il ne permettra pas à l’Iran de s’implanter à sa frontière, a mené des centaines de frappes en Syrie voisine contre des positions du pouvoir syrien, des groupes pro-iraniens et des cibles militaires iraniennes.
Avec AFP
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