Le porte-parole de la Force intérimaire des Nations unies pour le Liban (Finul), Andrea Tenenti, a catégoriquement démenti les informations relayées par les médias selon lesquelles «des habitants auraient intercepté un véhicule de la Finul dans le quartier de Hay el-Sellom», dans la banlieue sud de Beyrouth contrôlée par le Hezbollah, «après qu'il s'était égaré».
«Ce véhicule n'appartient pas à la Finul», a déclaré M. Tenenti, précisant: «Nos voitures portent le logo de l'ONU écrit en noir et non en bleu», comme le montre la photo qui a circulé dans les médias. «Il pourrait s'agir d'un véhicule d'une agence humanitaire (de l'ONU)», a-t-il toutefois précisé à Ici Beyrouth.
Il est bon de noter que les véhicules de la Finul se sont déjà égarés plus d'une fois, se retrouvant ainsi dans la banlieue sud de Beyrouth.
En mars, un incident similaire s'était produit à Hay el-Sellom, impliquant une voiture appartenant à la force de maintien de la paix qui effectuait un «déplacement logistique de routine vers Beyrouth». Le véhicule avait été arrêté et les soldats de la paix retenus par les habitants pendant un court laps de temps. L’adjointe du porte-parole de la Finul, Kandice Ardiel, avait réagi à cet incident en soulignant que «les soldats de la Finul ont la liberté et l’autorisation du gouvernement libanais de se déplacer dans tout le Liban, pour des raisons administratives et logistiques». «Cette liberté de mouvement est essentielle à la mise en œuvre de la résolution 1701», avait-elle ajouté.
«Ce véhicule n'appartient pas à la Finul», a déclaré M. Tenenti, précisant: «Nos voitures portent le logo de l'ONU écrit en noir et non en bleu», comme le montre la photo qui a circulé dans les médias. «Il pourrait s'agir d'un véhicule d'une agence humanitaire (de l'ONU)», a-t-il toutefois précisé à Ici Beyrouth.
Il est bon de noter que les véhicules de la Finul se sont déjà égarés plus d'une fois, se retrouvant ainsi dans la banlieue sud de Beyrouth.
En mars, un incident similaire s'était produit à Hay el-Sellom, impliquant une voiture appartenant à la force de maintien de la paix qui effectuait un «déplacement logistique de routine vers Beyrouth». Le véhicule avait été arrêté et les soldats de la paix retenus par les habitants pendant un court laps de temps. L’adjointe du porte-parole de la Finul, Kandice Ardiel, avait réagi à cet incident en soulignant que «les soldats de la Finul ont la liberté et l’autorisation du gouvernement libanais de se déplacer dans tout le Liban, pour des raisons administratives et logistiques». «Cette liberté de mouvement est essentielle à la mise en œuvre de la résolution 1701», avait-elle ajouté.
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