Le président français, Emmanuel Macron, a reçu, vendredi, au palais de l’Élysée, l'ancien chef du Parti socialiste progressiste, Walid Joumblatt.
Durant l'entretien, M. Macron a souligné que la France reste totalement engagée envers le Liban pour garantir d’une part l’élection d’un président de la République et, d’autre part, éviter une escalade au Liban-Sud.
Dans un communiqué publié par l’Élysée à l’issue de la réunion, M. Macron a appelé «tous les partis politiques libanais à assumer leurs responsabilités pour sortir le Liban de la crise présidentielle actuelle». Le vide présidentiel perdure depuis la fin du sexennat de l’ancien chef de l’État, Michel Aoun, le 31 octobre 2022.
M. Macron a indiqué, dans ce sens, que «la France continuera d’aider le Liban, à travers son envoyé spécial, Jean-Yves Le Drian, en étroite collaboration avec les responsables libanais et en coordination avec la communauté internationale».
Concernant la situation au Liban-Sud, le président français a insisté sur la nécessité de se «conformer à la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations unies», précisant que son pays continuera d’apporter «son soutien à la Force intérimaire des Nations unies (Finul) et à l’armée libanaise pour assurer la stabilité et la sécurité du Liban».
Durant l'entretien, M. Macron a souligné que la France reste totalement engagée envers le Liban pour garantir d’une part l’élection d’un président de la République et, d’autre part, éviter une escalade au Liban-Sud.
Dans un communiqué publié par l’Élysée à l’issue de la réunion, M. Macron a appelé «tous les partis politiques libanais à assumer leurs responsabilités pour sortir le Liban de la crise présidentielle actuelle». Le vide présidentiel perdure depuis la fin du sexennat de l’ancien chef de l’État, Michel Aoun, le 31 octobre 2022.
M. Macron a indiqué, dans ce sens, que «la France continuera d’aider le Liban, à travers son envoyé spécial, Jean-Yves Le Drian, en étroite collaboration avec les responsables libanais et en coordination avec la communauté internationale».
Concernant la situation au Liban-Sud, le président français a insisté sur la nécessité de se «conformer à la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations unies», précisant que son pays continuera d’apporter «son soutien à la Force intérimaire des Nations unies (Finul) et à l’armée libanaise pour assurer la stabilité et la sécurité du Liban».
Ici Beyrouth
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