©Crédit photo : Karl Abou Mrad
Le métropolite de Beyrouth, Mgr Élias Audi, a mis les dirigeants en garde, dimanche, affirmant que «le Liban ne sera pas convié à la table des négociations (d’après-guerre de Gaza et du Liban-Sud, en conséquence) sans un président et un gouvernement opérationnels».
Il a réaffirmé durant l’homélie célébrant la Pâques orthodoxe que le Liban ne se relèvera pas (de ses crises continues) tant que les dirigeants libanais n’œuvreront pas en faveur de leur patrie plutôt que pour leurs propres intérêts. Il les a exhortés à prendre leurs responsabilités sans attendre une solution de l'étranger.
«Le pays a besoin de responsables qui travaillent pour lui et non pour leurs intérêts personnels. Le premier devoir des députés est de se réunir dans les délais constitutionnels pour élire un président qui dirigera le pays avec honnêteté et sagesse», a défendu Mgr Audi.
Pour Mgr Audi, le Liban ne se relèvera pas tant que le travail des institutions n’aura pas été réactivé suivant la Constitution. «Aucun président de la République ne sera élu tant que perdureront les querelles, les blocages et l'imposition d’hérésies (absurdités) qui ne sont pas stipulées dans la Constitution», a-t-il également regretté en tirant la sonnette d'alarme.
Par ailleurs, le métropolite de Beyrouth a estimé qu’il était «honteux» que les Libanais «aient le sentiment que leurs députés sont impuissants et qu'ils attendent l'aide étrangère, sans rien dans leurs poches ni dans leurs têtes».
Il a réaffirmé durant l’homélie célébrant la Pâques orthodoxe que le Liban ne se relèvera pas (de ses crises continues) tant que les dirigeants libanais n’œuvreront pas en faveur de leur patrie plutôt que pour leurs propres intérêts. Il les a exhortés à prendre leurs responsabilités sans attendre une solution de l'étranger.
«Le pays a besoin de responsables qui travaillent pour lui et non pour leurs intérêts personnels. Le premier devoir des députés est de se réunir dans les délais constitutionnels pour élire un président qui dirigera le pays avec honnêteté et sagesse», a défendu Mgr Audi.
Pour Mgr Audi, le Liban ne se relèvera pas tant que le travail des institutions n’aura pas été réactivé suivant la Constitution. «Aucun président de la République ne sera élu tant que perdureront les querelles, les blocages et l'imposition d’hérésies (absurdités) qui ne sont pas stipulées dans la Constitution», a-t-il également regretté en tirant la sonnette d'alarme.
Par ailleurs, le métropolite de Beyrouth a estimé qu’il était «honteux» que les Libanais «aient le sentiment que leurs députés sont impuissants et qu'ils attendent l'aide étrangère, sans rien dans leurs poches ni dans leurs têtes».
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