L’avocat général près la cour d’appel au Mont-Liban, Tanios Saghbini, a engagé des poursuites contre douze individus – dont cinq personnes déjà arrêtées – accusés d’être impliqués dans le réseau de TikTokeurs pédophiles. Parmi ces personnes, on compte notamment Georges Moubayyed, coiffeur, déjà appréhendé, et Paul Meouchi, propriétaire d’un magasin de vente de vêtements. Surnommé Jay, il vit en Suède.
Le juge Saghbini a déféré les prévenus devant le premier juge d’instruction du Mont-Liban, Nicolas Mansour, à qui il a demandé de les soumettre à un interrogatoire et de délivrer des mandats d’arrêt à leur encontre. Il lui a aussi demandé de diffuser ces mandats d’arrêt à Interpol et d’adresser deux commissions rogatoires via cette organisation à deux pays – arabe et européen – où Peter Nafaa et Paul Meouchi, accusés, pourraient se trouver.
Le magistrat Saghbini accuse les prévenus d’avoir «formé un réseau criminel de traite d’êtres humains et de blanchiment d’argent et d’avoir sollicité des enfants, via les réseaux sociaux, principalement TikTok, à des fins sexuelles».
Dans le texte adressé au juge d’instruction, le magistrat Saghbini souligne que «les membres de ce réseau forçaient les mineurs à se droguer avant de les violer, de les prendre en photo nus et de vendre ces photos». Ils ont même «essayé de tuer certains de ces enfants en recourant à des pratiques violentes, mettant leur vie en danger».
Selon des sources judiciaires, l’avocat général près la cour d’appel a subdivisé le dossier. Ainsi, les poursuites ont été engagées contre les personnes ayant déjà subi l’interrogatoire préliminaire. Dans les heures qui suivent, il devrait engager des poursuites contre les autres membres du réseau, après avoir fini de les entendre. Parmi eux figurent notamment l’avocat Khaled M., Hassan Singer, qui se trouve à l’étranger, et le chauffeur de taxi qui transportait les enfants aux chalets où ils étaient violés.
Le juge Saghbini a déféré les prévenus devant le premier juge d’instruction du Mont-Liban, Nicolas Mansour, à qui il a demandé de les soumettre à un interrogatoire et de délivrer des mandats d’arrêt à leur encontre. Il lui a aussi demandé de diffuser ces mandats d’arrêt à Interpol et d’adresser deux commissions rogatoires via cette organisation à deux pays – arabe et européen – où Peter Nafaa et Paul Meouchi, accusés, pourraient se trouver.
Le magistrat Saghbini accuse les prévenus d’avoir «formé un réseau criminel de traite d’êtres humains et de blanchiment d’argent et d’avoir sollicité des enfants, via les réseaux sociaux, principalement TikTok, à des fins sexuelles».
Dans le texte adressé au juge d’instruction, le magistrat Saghbini souligne que «les membres de ce réseau forçaient les mineurs à se droguer avant de les violer, de les prendre en photo nus et de vendre ces photos». Ils ont même «essayé de tuer certains de ces enfants en recourant à des pratiques violentes, mettant leur vie en danger».
Selon des sources judiciaires, l’avocat général près la cour d’appel a subdivisé le dossier. Ainsi, les poursuites ont été engagées contre les personnes ayant déjà subi l’interrogatoire préliminaire. Dans les heures qui suivent, il devrait engager des poursuites contre les autres membres du réseau, après avoir fini de les entendre. Parmi eux figurent notamment l’avocat Khaled M., Hassan Singer, qui se trouve à l’étranger, et le chauffeur de taxi qui transportait les enfants aux chalets où ils étaient violés.
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