Sandra De Waele, ambassadrice de l'Union européenne (UE) au Liban, a déclaré jeudi que l’enveloppe d'un milliard d'euros annoncée par la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, est «destinée à soutenir le Liban» jusqu'en 2027.
Lors de son allocution à l'occasion de la Journée de l'Europe, Mme De Waele a étayé les objectifs présumés de ce soutien financier, qui devrait, selon elle, «aider le gouvernement à fournir des services de base aux personnes les plus vulnérables du pays», dans les «secteurs clés tels que la protection sociale, la santé, l'eau et l'éducation».
«Il ne s'agit pas seulement des réfugiés syriens mais aussi de nombreux Libanais – et ils sont de plus en plus nombreux –, qui bénéficient de programmes d'aide sociale financés par l'UE, de services de soins de santé primaires abordables, d'un accès à l'eau potable ou d'écoles publiques nouvellement réhabilitées», a-t-elle précisé.
Et Mme De Waele d’ajouter que «dès à présent, la grande majorité de cette aide bénéficie directement aux citoyens libanais».
Se penchant sur la question de la présence écrasante des déplacés syriens au Liban, l’ambassadrice UE a indiqué être parfaitement sensible aux «préoccupations des Libanais concernant la présence d'un si grand nombre de Syriens», reconnaissant «le lourd fardeau que cela représente». Dans ce cadre, elle a affirmé que selon l’UE, «l'avenir des Syriens se trouve en Syrie».
«Le retour des Syriens en Syrie, en toute sécurité, reste l'objectif ultime pour nous tous, et nous espérons travailler ensemble, de manière constructive, pour en faire une réalité», a-t-elle avancé.
Pour réaliser cet objectif, elle a indiqué que l’UE investira «davantage dans les voies légales afin que les réfugiés syriens puissent trouver des possibilités d'emploi en Europe», affirmant que l'UE «continuera de relocaliser des réfugiés du Liban vers l'Europe, afin d'alléger le fardeau» que ces derniers représentent pour le Liban.
Mme De Waele a annoncé, dans ce contexte, une collaboration future avec le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), «afin de développer une approche plus structurée des retours volontaires en Syrie».
Parallèlement, l’armée libanaise, la Sûreté générale et les Forces de sécurité intérieure recevront «l'équipement et l'expertise nécessaires pour mieux gérer les frontières terrestres et maritimes du Liban», selon les termes de l’ambassadrice.
Elle a toutefois précisé que la résolution de cette problématique «cruciale» prendra du temps, d’autant qu’elle «nécessitera la coopération d'un plus grand nombre de parties, outre le Liban et l'Europe».
Lors de son allocution à l'occasion de la Journée de l'Europe, Mme De Waele a étayé les objectifs présumés de ce soutien financier, qui devrait, selon elle, «aider le gouvernement à fournir des services de base aux personnes les plus vulnérables du pays», dans les «secteurs clés tels que la protection sociale, la santé, l'eau et l'éducation».
«Il ne s'agit pas seulement des réfugiés syriens mais aussi de nombreux Libanais – et ils sont de plus en plus nombreux –, qui bénéficient de programmes d'aide sociale financés par l'UE, de services de soins de santé primaires abordables, d'un accès à l'eau potable ou d'écoles publiques nouvellement réhabilitées», a-t-elle précisé.
Et Mme De Waele d’ajouter que «dès à présent, la grande majorité de cette aide bénéficie directement aux citoyens libanais».
Se penchant sur la question de la présence écrasante des déplacés syriens au Liban, l’ambassadrice UE a indiqué être parfaitement sensible aux «préoccupations des Libanais concernant la présence d'un si grand nombre de Syriens», reconnaissant «le lourd fardeau que cela représente». Dans ce cadre, elle a affirmé que selon l’UE, «l'avenir des Syriens se trouve en Syrie».
«Le retour des Syriens en Syrie, en toute sécurité, reste l'objectif ultime pour nous tous, et nous espérons travailler ensemble, de manière constructive, pour en faire une réalité», a-t-elle avancé.
Pour réaliser cet objectif, elle a indiqué que l’UE investira «davantage dans les voies légales afin que les réfugiés syriens puissent trouver des possibilités d'emploi en Europe», affirmant que l'UE «continuera de relocaliser des réfugiés du Liban vers l'Europe, afin d'alléger le fardeau» que ces derniers représentent pour le Liban.
Mme De Waele a annoncé, dans ce contexte, une collaboration future avec le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), «afin de développer une approche plus structurée des retours volontaires en Syrie».
Parallèlement, l’armée libanaise, la Sûreté générale et les Forces de sécurité intérieure recevront «l'équipement et l'expertise nécessaires pour mieux gérer les frontières terrestres et maritimes du Liban», selon les termes de l’ambassadrice.
Elle a toutefois précisé que la résolution de cette problématique «cruciale» prendra du temps, d’autant qu’elle «nécessitera la coopération d'un plus grand nombre de parties, outre le Liban et l'Europe».
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