Le chef du parti Kataëb, Samy Gemayel, a assuré, dans un enregistrement vocal, que «le numéro de la plaque d’immatriculation» du 4x4 à bord duquel se trouvaient les individus qui avaient tiré la veille contre le siège central du parti à Saïfi, au centre-ville de Beyrouth «a été relevé» et que «les services de sécurité mènent une enquête pour déterminer les circonstances de l’incident».
Commentant l’incident, le vice-président du parti, Bernard Gerbaka, a indiqué, dans une déclaration à la Voix du Liban, que «la violence et l’intimidation (…) ne réussiront pas à faire taire les voix libres» ni n’empêcheront «les partis et les citoyens d’appeler à restituer la souveraineté et la liberté du pays, à remettre les institutions constitutionnelles sur les rails et à élire un président de la République».
De son côté, le secrétaire général des Kataëb, Serge Dagher, a dénoncé un message politique, assurant que celui-ci est «parvenu». Dans un entretien à la chaîne Al-Jadeed, il a souligné que «la position politique du pays dérange et c’est la raison pour laquelle on nous adresse des messages par différents moyens». «Je pense que le message est également adressé aux services de sécurité», dans le sens où les malfaiteurs voudraient affirmer leur pouvoir d’action en dépit des «mesures de sécurité les plus élevées» prises par l’État. «Notre position est ferme et ne changera pas», a-t-il conclu.
L’incident a aussi été dénoncé par les Forces libanaises (FL) qui a estimé que de tels actes «visent à faire régner le chaos et l’anarchie» dans le pays.
Pour sa part, le Parti socialiste progressiste (PSP) a appelé les services de sécurité à «déterminer les circonstances» de l’incident et à «déférer les malfaiteurs devant la justice». Il a appelé à la «vigilance» et à «se rallier à l’État».
Même son de cloche chez le bloc du Renouveau (Tajaddod) qui a appelé les forces de sécurité à identifier les auteurs de cet incident et à les traduire en justice.
Commentant l’incident, le vice-président du parti, Bernard Gerbaka, a indiqué, dans une déclaration à la Voix du Liban, que «la violence et l’intimidation (…) ne réussiront pas à faire taire les voix libres» ni n’empêcheront «les partis et les citoyens d’appeler à restituer la souveraineté et la liberté du pays, à remettre les institutions constitutionnelles sur les rails et à élire un président de la République».
De son côté, le secrétaire général des Kataëb, Serge Dagher, a dénoncé un message politique, assurant que celui-ci est «parvenu». Dans un entretien à la chaîne Al-Jadeed, il a souligné que «la position politique du pays dérange et c’est la raison pour laquelle on nous adresse des messages par différents moyens». «Je pense que le message est également adressé aux services de sécurité», dans le sens où les malfaiteurs voudraient affirmer leur pouvoir d’action en dépit des «mesures de sécurité les plus élevées» prises par l’État. «Notre position est ferme et ne changera pas», a-t-il conclu.
L’incident a aussi été dénoncé par les Forces libanaises (FL) qui a estimé que de tels actes «visent à faire régner le chaos et l’anarchie» dans le pays.
Pour sa part, le Parti socialiste progressiste (PSP) a appelé les services de sécurité à «déterminer les circonstances» de l’incident et à «déférer les malfaiteurs devant la justice». Il a appelé à la «vigilance» et à «se rallier à l’État».
Même son de cloche chez le bloc du Renouveau (Tajaddod) qui a appelé les forces de sécurité à identifier les auteurs de cet incident et à les traduire en justice.
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