L’ancien chef du Parti socialiste progressiste (PSP), Walid Joumblatt, a salué le rôle joué par le Qatar au sein du Quintette, chargé d’aider le Liban à débloquer le dossier de la présidentielle.
M. Joumblatt a tenu ces propos lors d’une réunion qu’il a eue, lundi à Doha, avec le Premier ministre et ministre qatari des Affaires étrangères, Mohammad ben Abdel Rahman al-Thani.
Les discussions ont porté sur l’ensemble de la situation régionale, notamment la guerre à Gaza et au Liban-Sud, et sur les actualités politiques libanaises. M. Joumblatt a mis l’accent sur les efforts déployés par le Qatar en faveur d’un cessez-le-feu à Gaza.
M. Joumblatt était accompagné de son épouse Nora, de son fils Teymour, député et actuel chef du PSP, et du député Hadi Abou el-Hosn. L’ambassadrice du Liban au Qatar, Farah Berry, était également présente.
Cette rencontre intervient dans le cadre de multiples visites à Doha, effectuées dernièrement par plusieurs responsables libanais, visant à discuter de l’échéance présidentielle, qui se fait de plus en plus pressante, après plus de 18 mois de vacance à la tête de l’État.
Dans le cadre de ces pourparlers accueillis par la capitale qatarie, des spéculations circulent autour d’une éventuelle conférence de Doha 2, à l’image de celle de 2008 qui avait permis au général Michel Sleiman d’accéder à la présidence.
M. Joumblatt a tenu ces propos lors d’une réunion qu’il a eue, lundi à Doha, avec le Premier ministre et ministre qatari des Affaires étrangères, Mohammad ben Abdel Rahman al-Thani.
Les discussions ont porté sur l’ensemble de la situation régionale, notamment la guerre à Gaza et au Liban-Sud, et sur les actualités politiques libanaises. M. Joumblatt a mis l’accent sur les efforts déployés par le Qatar en faveur d’un cessez-le-feu à Gaza.
M. Joumblatt était accompagné de son épouse Nora, de son fils Teymour, député et actuel chef du PSP, et du député Hadi Abou el-Hosn. L’ambassadrice du Liban au Qatar, Farah Berry, était également présente.
Cette rencontre intervient dans le cadre de multiples visites à Doha, effectuées dernièrement par plusieurs responsables libanais, visant à discuter de l’échéance présidentielle, qui se fait de plus en plus pressante, après plus de 18 mois de vacance à la tête de l’État.
Dans le cadre de ces pourparlers accueillis par la capitale qatarie, des spéculations circulent autour d’une éventuelle conférence de Doha 2, à l’image de celle de 2008 qui avait permis au général Michel Sleiman d’accéder à la présidence.
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