«Parce que les choses sont désormais claires, il faut s’orienter vers un accord final.» C’est ce qu’a déclaré Ernesto Ramirez Rigo, chef de la mission du Fonds monétaire international (FMI) pour le Liban, à l’issue de son entretien mercredi à Beyrouth avec les organismes économiques présidés par Mohamad Choucair, mais sans donner davantage d’explications au sujet de ce qui, à ses yeux, semble clair.
La mission du FMI se trouve au Liban pour une visite de quatre jours. L’objectif de cette visite est de discuter avec les autorités libanaises et les acteurs économiques clés dans le pays de l’évolution de la situation locale, au vu des décisions prises pour une stabilisation du marché financier, ainsi que des progrès réalisés sur le plan des réformes clés.
Le Liban, rappelle-t-on, a signé, en avril 2022, avec le FMI, un accord préliminaire, Staff Level Agreement (SAL), pour bénéficier d’une aide de trois milliards de dollars. Néanmoins, cette aide est conditionnée par l’exécution d’une série de réformes structurelles.
Jusqu’à ce jour, l’establishment politique n’a entrepris qu’une partie minime des réformes réclamées par la communauté internationale. Il a entrepris un audit des avoirs de la Banque centrale. Il a aussi voté une nouvelle loi sur le secret bancaire et a promulgué, dans les délais, une loi de Finances avec un déficit nul.
Lors d’un entretien accordé à la chaîne MTV, mercredi, le chef du département de la recherche à Bank Audi, Marwan Barakat, a révélé que «le FMI devrait annoncer incessamment le gel de ses négociations avec le Liban jusqu’à ce qu’un chef de l’État soit élu et qu’un gouvernement effectif soit formé».
Depuis la signature par le Liban du SLA, les deux pouvoirs exécutif et législatif n’ont pas cessé de se renvoyer la patate chaude, au sujet des réformes, sans qu’aucun d’eux ne prenne ses responsabilités sur ce plan.
Avant de quitter le Liban, la mission du FMI organisera, jeudi, une rencontre avec la presse qui permettra d’en savoir davantage sur les résultats de sa visite et la position du FMI face à la lenteur des politiques quant à la mise en œuvre des réformes.
La mission du FMI se trouve au Liban pour une visite de quatre jours. L’objectif de cette visite est de discuter avec les autorités libanaises et les acteurs économiques clés dans le pays de l’évolution de la situation locale, au vu des décisions prises pour une stabilisation du marché financier, ainsi que des progrès réalisés sur le plan des réformes clés.
Le Liban, rappelle-t-on, a signé, en avril 2022, avec le FMI, un accord préliminaire, Staff Level Agreement (SAL), pour bénéficier d’une aide de trois milliards de dollars. Néanmoins, cette aide est conditionnée par l’exécution d’une série de réformes structurelles.
Jusqu’à ce jour, l’establishment politique n’a entrepris qu’une partie minime des réformes réclamées par la communauté internationale. Il a entrepris un audit des avoirs de la Banque centrale. Il a aussi voté une nouvelle loi sur le secret bancaire et a promulgué, dans les délais, une loi de Finances avec un déficit nul.
Lors d’un entretien accordé à la chaîne MTV, mercredi, le chef du département de la recherche à Bank Audi, Marwan Barakat, a révélé que «le FMI devrait annoncer incessamment le gel de ses négociations avec le Liban jusqu’à ce qu’un chef de l’État soit élu et qu’un gouvernement effectif soit formé».
Depuis la signature par le Liban du SLA, les deux pouvoirs exécutif et législatif n’ont pas cessé de se renvoyer la patate chaude, au sujet des réformes, sans qu’aucun d’eux ne prenne ses responsabilités sur ce plan.
Avant de quitter le Liban, la mission du FMI organisera, jeudi, une rencontre avec la presse qui permettra d’en savoir davantage sur les résultats de sa visite et la position du FMI face à la lenteur des politiques quant à la mise en œuvre des réformes.
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