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- Rafah: l’UE envisage de participer au contrôle de la frontière
L’UE envisage de participer au contrôle de la frontière entre l’Égypte et la bande de Gaza, à Rafah, dans le sud du territoire palestinien, une fois que la guerre entre le Hamas et Israël sera terminée, a-t-on appris vendredi de sources diplomatiques.
L’Union européenne s’est dite prête à ranimer et élargir la mission EUBAM engagée en 2005 à Rafah, où du personnel européen participait au contrôle des personnes et des marchandises. La mission a été suspendue en 2007.
«Nous avons reçu des demandes émanant de différentes parties, y compris Israël, pour étudier la possibilité de rouvrir» cette mission, a indiqué un haut responsable européen sous couvert d’anonymat.
Le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, va en discuter lundi à Bruxelles lors d’une réunion avec les ministres des Affaires étrangères de l’UE, qui devraient donner leur feu vert pour examiner les options possible, selon cette source.
«Évidemment, ça ne se fera pas dans les circonstances actuelles, pas dans ces circonstances de guerre, nous parlons de l’avenir», a précisé ce haut responsable.
Selon un autre diplomate européen, les Vingt-Sept, qui peinent à s’exprimer d’une seule voix sur le conflit à Gaza, en sont encore à un stade «très préliminaire» des discussions.
La Cour internationale de justice, qui est la plus haute juridiction de l’ONU, a ordonné vendredi à Israël de stopper «immédiatement» son offensive militaire à Rafah, une décision susceptible d’ajouter à la pression internationale en faveur d’une trêve après plus de sept mois de guerre.
Avec AFP
L’Union européenne s’est dite prête à ranimer et élargir la mission EUBAM engagée en 2005 à Rafah, où du personnel européen participait au contrôle des personnes et des marchandises. La mission a été suspendue en 2007.
«Nous avons reçu des demandes émanant de différentes parties, y compris Israël, pour étudier la possibilité de rouvrir» cette mission, a indiqué un haut responsable européen sous couvert d’anonymat.
Le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, va en discuter lundi à Bruxelles lors d’une réunion avec les ministres des Affaires étrangères de l’UE, qui devraient donner leur feu vert pour examiner les options possible, selon cette source.
«Évidemment, ça ne se fera pas dans les circonstances actuelles, pas dans ces circonstances de guerre, nous parlons de l’avenir», a précisé ce haut responsable.
Selon un autre diplomate européen, les Vingt-Sept, qui peinent à s’exprimer d’une seule voix sur le conflit à Gaza, en sont encore à un stade «très préliminaire» des discussions.
La Cour internationale de justice, qui est la plus haute juridiction de l’ONU, a ordonné vendredi à Israël de stopper «immédiatement» son offensive militaire à Rafah, une décision susceptible d’ajouter à la pression internationale en faveur d’une trêve après plus de sept mois de guerre.
Avec AFP
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