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- Frappes sur Rafah: réunion d'urgence du CSNU mardi
©(AFP)
Le Conseil de sécurité de l’ONU doit se réunir d’urgence, mardi, au sujet de l’attaque israélienne qui a tué des dizaines de personnes dans un camp de personnes déplacées à Rafah dans la nuit de dimanche.
Cette réunion à huis clos a été demandée par l’Algérie, membre non permanent du Conseil, ont précisé plusieurs de ces sources à l’AFP. L’ONU a demandé une enquête «complète et transparente» sur le bombardement de Rafah.
Israël a multiplié, mardi, les frappes sur Rafah, malgré les condamnations de son bombardement meurtrier. Le Conseil de sécurité doit étudier la situation dans ce secteur de Gaza.
L’attaque a suscité une vague de condamnations internationales. Les Palestiniens et de nombreux pays arabes l’ont qualifiée de «massacre».
«Je condamne les actions d’Israël qui ont tué de nombreux civils innocents. Ces derniers cherchaient seulement à se protéger de ce conflit meurtrier. Il n’y a pas d’endroit sûr à Gaza. Ces horreurs doivent cesser», a déclaré de son côté le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres.
I condemn Israel’s actions which killed scores of innocent civilians who were only seeking shelter from this deadly conflict.
There is no safe place in Gaza.
This horror must stop.
— António Guterres (@antonioguterres)
«Dire qu’il s’agit d’une erreur ne signifie rien pour ceux qui ont été tués, ceux qui sont en deuil et ceux qui tentent de sauver des vies», a renchéri le chef des opérations humanitaires de l’ONU, Martin Griffiths, en qualifiant d’«abominable» cette «attaque».
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a regretté «un accident tragique». L’armée israélienne a dit enquêter sur la mort de victimes civiles après avoir dit, dans un premier temps, avoir ciblé deux hauts responsables du Hamas avec des «munitions précises».
La Défense civile palestinienne a fait état de nombreux corps «carbonisés» dans l’incendie qui a ravagé le camp de déplacés de Barkasat, géré par l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa), dans le nord-ouest de Rafah.
Avec AFP
Cette réunion à huis clos a été demandée par l’Algérie, membre non permanent du Conseil, ont précisé plusieurs de ces sources à l’AFP. L’ONU a demandé une enquête «complète et transparente» sur le bombardement de Rafah.
Israël a multiplié, mardi, les frappes sur Rafah, malgré les condamnations de son bombardement meurtrier. Le Conseil de sécurité doit étudier la situation dans ce secteur de Gaza.
L’attaque a suscité une vague de condamnations internationales. Les Palestiniens et de nombreux pays arabes l’ont qualifiée de «massacre».
«Je condamne les actions d’Israël qui ont tué de nombreux civils innocents. Ces derniers cherchaient seulement à se protéger de ce conflit meurtrier. Il n’y a pas d’endroit sûr à Gaza. Ces horreurs doivent cesser», a déclaré de son côté le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres.
I condemn Israel’s actions which killed scores of innocent civilians who were only seeking shelter from this deadly conflict.
There is no safe place in Gaza.
This horror must stop.
— António Guterres (@antonioguterres)
I condemn Israel’s actions which killed scores of innocent civilians who were only seeking shelter from this deadly conflict.
— António Guterres (@antonioguterres) May 27, 2024
There is no safe place in Gaza.
This horror must stop.
«Dire qu’il s’agit d’une erreur ne signifie rien pour ceux qui ont été tués, ceux qui sont en deuil et ceux qui tentent de sauver des vies», a renchéri le chef des opérations humanitaires de l’ONU, Martin Griffiths, en qualifiant d’«abominable» cette «attaque».
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a regretté «un accident tragique». L’armée israélienne a dit enquêter sur la mort de victimes civiles après avoir dit, dans un premier temps, avoir ciblé deux hauts responsables du Hamas avec des «munitions précises».
La Défense civile palestinienne a fait état de nombreux corps «carbonisés» dans l’incendie qui a ravagé le camp de déplacés de Barkasat, géré par l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa), dans le nord-ouest de Rafah.
Avec AFP
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