Michel Moawad, chef du Mouvement de l’indépendance et député du bloc du Renouveau (Tajaddod), a réitéré sa position soutenant «l’élection d’un président souverainiste dont la seule préoccupation est le Liban et ses intérêts».
Lors d’un entretien, accordé mercredi soir à la chaîne LBCI, M. Moawad a expliqué que l’alliance de Sleiman Frangié avec le Hezbollah et l’axe pro-iranien, «n’est pas compatible avec sa candidature à la présidence libanaise». Il a appelé M. Frangié à se retirer de la course présidentielle, en raison de sa position contraire à la souveraineté du Liban, précisant que l’enjeu n’est pas personnel.
Dans ce cadre, il a ajouté qu’«une minorité essaie d’imposer son avis à la majorité», réitérant la demande de «sessions électorales ouvertes, conformément à la Constitution».
Se penchant sur le rôle des forces de l’opposition, M. Moawad a estimé qu’elles devraient «serrer les rangs afin d’imposer un rapport de forces plus avantageux et, de ce fait, faire pression sur le Hezbollah et élire un président de la République».
Concernant la crise des migrants syriens au Liban, M. Moawad a tenu le gouvernement pour responsable, l’appelant à contrôler la frontière et à expulser les Syriens en situation illégale.
Quant aux recommandations émises par le Parlement concernant la gestion de ce dossier, M. Moawad a précisé que «le Parlement n’a pas eu le temps» d’en prendre connaissance dans le détail et que le président de la Chambre, Nabih Berry, a «rapidement» approuvé le document.
En ce qui concerne la situation de guerre au Liban-Sud, M. Moawad a critiqué la décision unilatérale du Hezbollah de s’y impliquer, d’où sa question rhétorique: «C’est donc l’État qui doit assumer les pertes?»
Lors d’un entretien, accordé mercredi soir à la chaîne LBCI, M. Moawad a expliqué que l’alliance de Sleiman Frangié avec le Hezbollah et l’axe pro-iranien, «n’est pas compatible avec sa candidature à la présidence libanaise». Il a appelé M. Frangié à se retirer de la course présidentielle, en raison de sa position contraire à la souveraineté du Liban, précisant que l’enjeu n’est pas personnel.
Dans ce cadre, il a ajouté qu’«une minorité essaie d’imposer son avis à la majorité», réitérant la demande de «sessions électorales ouvertes, conformément à la Constitution».
Se penchant sur le rôle des forces de l’opposition, M. Moawad a estimé qu’elles devraient «serrer les rangs afin d’imposer un rapport de forces plus avantageux et, de ce fait, faire pression sur le Hezbollah et élire un président de la République».
Concernant la crise des migrants syriens au Liban, M. Moawad a tenu le gouvernement pour responsable, l’appelant à contrôler la frontière et à expulser les Syriens en situation illégale.
Quant aux recommandations émises par le Parlement concernant la gestion de ce dossier, M. Moawad a précisé que «le Parlement n’a pas eu le temps» d’en prendre connaissance dans le détail et que le président de la Chambre, Nabih Berry, a «rapidement» approuvé le document.
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