L’émissaire américain pour le Liban, Amos Hochstein, a fait état jeudi d’un projet d’accord sur la frontière terrestre libano-israélienne, lequel s’il est mis en œuvre, devrait, selon lui, réduire les tensions entre les deux pays et rétablir la stabilité au Liban.
Il s’agit d’un accord par étapes, qui a été exposé par M. Hochstein, au cours d’une conférence qu’il a donnée au Carnegie Endowment for International Peace, sur le thème des «Tensions grandissantes entre le Hezbollah et Israël à la frontière libano-israélienne».
«Je ne m'attends pas à une paix permanente entre le Hezbollah et Israël», a déclaré M. Hochstein, avant d’ajouter: «Mais si nous pouvons parvenir à un ensemble d'accords, éliminer certains motifs de conflit et établir des frontières reconnues pour la première fois entre les deux pays, nous aurions réalisé des progrès substantiels», a-t-il ajouté.
M. Hochstein, rappelle-t-on, avait joué un rôle fondamental dans la délimitation des frontières maritimes entre Israël et le Liban fin 2022, après deux ans de négociations, dans la perspective des prospections gazières et pétrolières offshore.
Pour lui, un accord libano-israélien multi-étapes devrait permettre au début, aux habitants des régions nord d’Israël et sud du Liban de rentrer chez eux.
Une telle démarche commande, selon lui, une consolidation des capacités de l’armée libanaise, à travers l’enrôlement de nouveaux effectifs, la formation et le rééquipement des forces militaires.
La deuxième phase de l’accord serait, selon lui, d’ordre économique, à travers des aides et des investissements internationaux au Liban.
M. Hochstein a donné dans ce cadre l’exemple du secteur de l’électricité et fait état d’une solution envisagée pour une meilleure distribution du courant électrique. Il a fait état d’un projet qui permettrait de «pour fournir de l'électricité 12 heures par jour, mais à court terme», sans toutefois donner plus de précisions.
La dernière phase de l’accord, portera, selon lui, sur le règlement des points litigieux au niveau de la frontière terrestre libano-israélienne.
Un tel accord, a-t-il insisté, pourrait contribuer à rétablir la stabilité au Liban au double plan politique et économique, «ce qui contribuera à réduire l'influence de l'Iran dans ce pays».
Il s’agit d’un accord par étapes, qui a été exposé par M. Hochstein, au cours d’une conférence qu’il a donnée au Carnegie Endowment for International Peace, sur le thème des «Tensions grandissantes entre le Hezbollah et Israël à la frontière libano-israélienne».
«Je ne m'attends pas à une paix permanente entre le Hezbollah et Israël», a déclaré M. Hochstein, avant d’ajouter: «Mais si nous pouvons parvenir à un ensemble d'accords, éliminer certains motifs de conflit et établir des frontières reconnues pour la première fois entre les deux pays, nous aurions réalisé des progrès substantiels», a-t-il ajouté.
M. Hochstein, rappelle-t-on, avait joué un rôle fondamental dans la délimitation des frontières maritimes entre Israël et le Liban fin 2022, après deux ans de négociations, dans la perspective des prospections gazières et pétrolières offshore.
Pour lui, un accord libano-israélien multi-étapes devrait permettre au début, aux habitants des régions nord d’Israël et sud du Liban de rentrer chez eux.
Une telle démarche commande, selon lui, une consolidation des capacités de l’armée libanaise, à travers l’enrôlement de nouveaux effectifs, la formation et le rééquipement des forces militaires.
La deuxième phase de l’accord serait, selon lui, d’ordre économique, à travers des aides et des investissements internationaux au Liban.
M. Hochstein a donné dans ce cadre l’exemple du secteur de l’électricité et fait état d’une solution envisagée pour une meilleure distribution du courant électrique. Il a fait état d’un projet qui permettrait de «pour fournir de l'électricité 12 heures par jour, mais à court terme», sans toutefois donner plus de précisions.
La dernière phase de l’accord, portera, selon lui, sur le règlement des points litigieux au niveau de la frontière terrestre libano-israélienne.
Un tel accord, a-t-il insisté, pourrait contribuer à rétablir la stabilité au Liban au double plan politique et économique, «ce qui contribuera à réduire l'influence de l'Iran dans ce pays».
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